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samedi, 19 juillet 2008

Zenit met en ligne l'intégralité des discours du Pape

 

 

 

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* Rencontre oecuménique à Sydney : discours de Benoît XVI (18 juillet)


* Rencontre interreligieuse à Sydney : discours de Benoît XVI (18 juillet)

 

 

* Discours de Benoît XVI aux jeunes (jeudi 17 juillet)


* Benoît XVI répond aux questions des journalistes dans l’avion pour l’Australie

 

 

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SOURCE 

 

Le Salon Beige 

 

 ZENIT

 

 

 

 

20:26 Publié dans JMJ - 2008 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : littérature, société, voyage, actualité, france | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

dimanche, 11 mai 2008

Pentecôte, l’Esprit commun du Père et du Fils

 

 

 

 

 

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 Dans l’ancien tes­­tament, les Juges comme Samson (Jg 13, 5), les Prophètes comme Samuel (1 S 1, 11) ou les Rois comme David (1 S 16, 13), étaient investis de la force de l’Esprit pour une mission particulière et temporaire. Cette force divine les rendait capables d’actions exceptionnelles pour rappeler au peuple élu sa vocation à participer à la sainteté de Dieu.

Dans le cas de Jésus, « qui a été conçu du Saint-Esprit », il s’agit de la force de Dieu révélée en la personne même du Fils. Durant son ministère, Jésus manifeste la puissance de l’Esprit. Dans l’Esprit, il affronte le diable (Mt 4, 1) et guérit les possédés (12, 28). Dans l’Esprit, il apporte aux pauvres la bonne nouvelle du salut (Lc 4, 18). Dans l’Esprit, Jésus tressaille de joie et bénit le Père  : « En ce moment même, Jésus tressaillit de joie par le Saint-Esprit, et il dit  : Je te loue, Père, Seigneur du ciel et de la terre, de ce que tu as caché ces choses aux sages et aux intelligents, et de ce que tu les as révélées aux enfants. Oui, Père, je te loue de ce que tu l’as voulu ainsi » (Lc 10, 21).

Dans chacune de ces situations, Jésus ne vit pas de l’Esprit comme d’une force extérieure qui l’envahirait du dehors. Si c’était le cas, son mystère de Fils de Dieu ne serait plus l’objet de notre foi en sa divinité. Le Christ ne serait qu’un homme hors du commun, doté certes d’une grande envergure morale et philanthropique, mais il ne serait pas « de même nature que le Père ».

 

Une création nouvelle

 

« L’Esprit Saint viendra sur toi », annonce Gabriel à Marie (Lc 1, 35). Cette parole de l’Ange renvoie aux ori­gines de la création, lorsque « l’esprit de Dieu planait sur les eaux » (Gn 1, 1).

Dans l’Ancien Testament, le fait qu’un juge, un prophète ou un roi soit doté d’une personnalité nouvelle en vue d’une mission particulière, se fonde sur le fait que de l’Esprit vient toute transformation. C’est lui qui change le chaos en cosmos. C’est lui qui du néant tire l’être. Que l’Esprit Saint vienne sur Marie indique qu’une création nouvelle est à l’œuvre, un nouveau commencement, celui d’une humanité sauvée, définitivement établie dans l’alliance divine.

Le « oui » de Marie est la réponse faite en notre nom à tous. Le salut n’est pas le résultat de nos forces. Par Marie, l’humanité accepte ce salut comme un don gratuit mais qui ne peut être reçu sans la foi ni l’obéissance. Le fait que Jésus soit « né de la Vierge Marie » exprime à la fois la gratuité de l’amour de Dieu et le consentement des hommes à cette gratuité. En Jésus, Dieu apporte à l’humanité un commencement nouveau qui ne provient pas de la somme des efforts humains mais d’un don d’en haut. Ce que le Fils a de plus intime avec le Père, il nous le donne en assumant notre humanité du sein virginal d’une femme. Il est essentiel que notre foi repose sur la puissance de l’Esprit agissant au milieu de nous comme il a agi avec puissance dans le sein de Marie.

 

Esprit de la promesse

 

 

Au moment de passer de ce monde à son Père, Jésus promet l’Esprit Saint à ses apôtres. Il l’appelle le Paraclet, mot que l’on traduit par « avocat », « soutien ».

Ici-bas, l’Esprit Saint rend témoignage à Jésus (cf. Jn 15, 26). Il est son « Défenseur » et actualise sa présence. Durant sa mission sur terre, les paroles et les miracles de Jésus ne se distinguent guère de la mission de l’Esprit Saint. Aussi, pour que ce dernier soit répandu et reconnu par les croyants, il faut que Jésus s’en aille  : « Si je ne pars pas, le Paraclet ne viendra pas vers vous » (Jn 16, 7). Cette remarque de Jésus ne signifie pas qu’il existe une concurrence entre lui et l’Esprit. Simplement, Jésus laisse entendre qu’après la Pentecôte, la communauté des croyants reconnaîtra la mission particulière de l’Esprit dans l’histoire du salut.

Si le don de l’Esprit Saint est manifesté à la Pentecôte, cinquante jours après Pâques, il a déjà été donné sur la Croix  : « Jésus remit l’esprit » (Jn 19, 30). Lorsque meurt un homme, si célèbre qu’il ait été, la puissance de son esprit s’arrête avec lui. Ses œuvres font désormais partie du passé. De nouvelles générations en hériteront ou les rejetteront. En tout cas, cet homme ne peut plus rien sur elles. Jésus, en remettant l’esprit, en fait le don à l’Église et la fonde. En elle, l’Esprit agit et est présent dans les sacrements qu’elle a mission de donner au nom du Fils. « L’Esprit Saint prépare l’Église à rencontrer son Seigneur  ; il rappelle et manifeste le Christ à la foi de l’assemblée  ; il rend présent et actualise le mystère du Christ par sa puissance transformante  ; enfin, l’Esprit de communion unit l’Église à la vie et à la mission du Christ » (CEC 1092).

Tel est l’accomplissement de la promesse de Jésus à propos de la venue de l’Esprit Saint  : « Il vous enseignera tout » (Jn 16, 13). Peut-être aurions-nous préféré en­tendre  : « Vous le sentirez ». Mais rien de cela. L’Esprit offre mieux que des sensations fortes à ses disciples  : il révèle le sens des gestes et des paroles de Jésus dont il est inséparable. Il leur donne d’affronter l’esprit du monde et d’être témoins de l’Évangile.

Le Catéchisme de l’Église catholique enseigne que l’Esprit Saint donne au disciple de comprendre la Parole de Dieu (§ 111). Il le dispose à l’accueillir dans la foi (§§ 91, 93, 108) et à grandir en elle (§§ 94, 158).

Par le baptême, les disciples de toutes les générations reçoivent l’Esprit de Jésus et demeurent unis dans la foi autour de lui pour évangéliser en son Nom.

« L’Esprit de Dieu habite en vous » (1 Co 3, 16)

Le baptisé n’est pas essentiellement un être d’activité, mais d’intériorité. Il est temple avant d’être porte-parole. La mission est donc une intériorisation progressive, une découverte grandissante de la présence de l’Esprit en nous. Le Veni Sancte Spiritus chanté le jour de la Pentecôte nomme le Saint-Esprit « Hôte très doux de notre âme ». C’est dire qu’il est présent au plus intime de notre être, ce que l’Écriture appelle le « cœur ». C’est là qu’il agit.

Voilà pourquoi parler de l’Esprit Saint dans la vie de Jésus engage à un apprentissage de la prière. Ce point est d’autant plus important que celui qui a mission de transmettre la foi est souvent tenté de négliger l’importance de se poser lui-même devant Dieu. Or, il lui est indispensable de savoir tout laisser un instant pour se mettre en sa présence afin d’être éclairé par sa lumière. Dans le domaine de la transmission de la foi, seul l’Esprit Saint peut éclairer le disciple et susciter les fruits inattendus.

 

Père Ludovic Lécuru

 

 

 

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Source 

 

 Ce texte est extrait du livre Le Credo, que le Père Ludovic Lécuru a publié aux éditions de l’Emmanuel  : pp. 63-69.

France Catholique 

 

Illustration 

 

Mikhail Vrubel
Pentecôte. Detail 2
1884
Fresque
Eglise St. Cyril, Kiev, Ukraine.

 

09:43 Publié dans Fête | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christ, eglise, famille, education, société, france | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

vendredi, 02 mai 2008

Un nouveau blog: le repos dominical

 

 

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Le repos dominical

Un blog Chrétien pour le maintien du repos
 
dominical.

Alors que les groupes de pressions
 
marchands et politiques veulent

imposer le travail du dimanche
 
à notre société,
 
présente une autre optique,

éclairée par la vision chrétienne
 
de la vie en société.

 

 

 

 

 

15:43 Publié dans Message | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : société, france, politique, famille, loisirs, solidarité | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

samedi, 19 avril 2008

La messe, c'est l'œuvre de la Rédemption

 

 

 

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Pourquoi les chrétiens attachent-ils autant d'importance à la messe ?

 

 

 

 

La messe, c'est l'œuvre de la Rédemption qui s'accomplit et se répand. Le sacrifice de la Croix est rendu présent par la messe. Elle est la grande action du Christ qui assume tout l'agir humain du chrétien. Mémoire (c'est à dire concentré) de toutes les merveilles de Dieu, comme dit un psaume, la messe rend présente et efficace l'histoire du salut dans la vie des hommes de tous les temps et tous les lieux. Toute la vie chrétienne découle de la messe ou s'oriente vers elle. La messe prolonge l'effusion d'amour que Jésus-Christ a méritée par sa mort le vendredi saint. Assister à la messe, c'est se tenir au pied de la croix, c'est s'unir à l'offrande que Jésus-Christ, toujours vivant, fait à son Père pour nous. C'est pourquoi la messe doit être au cœur de la vie de chaque chrétien.

 

La sainte messe est le sacrifice du Corps et du Sang de Jésus-Christ, offert sur nos autels sous les espèces du pain et du vin en souvenir du sacrifice du Christ.


Catéchisme de saint Pie X

La messe est à la fois et inséparablement le mémorial sacrificiel dans lequel se perpétue le sacrifice de la Croix, et le banquet sacré de la communion au Corps et au Sang du Seigneur.


Catéchisme de l'Eglise Catholique

L'Eglise et le monde ont un grand besoin du culte eucharistique. Jésus nous attend dans ce sacrement de l'amour. Ne refusons pas le temps pour aller Le rencontrer dans l'adoration, dans la contemplation pleine de foi et ouverte à réparer les fautes graves et les délits du monde. Que ne cesse jamais notre adoration …


Jean-Paul II, Dominicae cenae

 

 

 

 

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 SOURCE

 

Paix liturgique 

 

 

 

 

 

mercredi, 16 avril 2008

Messe en latin à VOIRON

 Première rencontre avec Monseigneur de Kerimel.
 
 
 
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Malgré un emploi du temps chargé, Monseigneur de Kerimel Evèque du diocèse de Grenoble – Vienne, a reçu une délégation de deux personnes.
Son accueil fut très chaleureux et l’échange se fit dans un esprit profondément chrétien. L’Evèque leur fit part que bien que n’ayant pas un attachement particulier à la forme extraordinaire de l’unique rite, il reste néanmoins convaincu que cette forme trouve sa place dans le cadre de la diversité de l’Eglise d’aujourd’hui. En rejoignant l’objectif même du Motu Proprio, il estima que l’acceptation des différences représentait le véritable esprit de tolérance de ceux qui souhaitent se retrouver dans le Christ. Monseigneur pria de faire preuve de patience quant à l’application prochaine du Motu Proprio en considérant certaines priorités actuellement déjà mises en place au sein du diocèse et demanda de garder confiance quant à la suite qu’il donnera à la demande et dont il ne manquera pas d’informer les intéressés.
 
 
Si vous souhaitez vous associer à notre demarche, nous vous invitons à nous rejoindre. Vous pouvez aussi nous contacter pour nous faire part de vos encouragements, remarques, questions ou informations.


motu38@aol.fr
 
 
 
 
 

07:08 Publié dans Lettres à nos lecteurs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femme, éducation, famille, ump, société, politique, histoire | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |