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mardi, 25 septembre 2012

Dénaturation du mariage : le temps de la mobilisation

 

 

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La gravité de la situation appelle plus que jamais à l'unité dans l'action et à l'information continue. Ce post se propose de regrouper toutes les actions que chacun d'entre nous, unis dans un combat commun, peut mener à son niveau pour prendre part au défi qui nous attend. Sûrement incomplet, ce post sera mis à jour au fur et à mesure de nos informations et de vos contributions laissées dans les commentaires.

Déjà trois dates à bloquer pour trois actions unitaires : 20 octobre, 18 novembre et 1er décembre. Ca laisse de la place pour de nouvelles initiatives.

Agir

- Rejoindre la marche de prière pour la vie et la famille de Renaissance catholique le samedi 20 octobre à 17h45 de Notre-Dame des Victoires.

- Participer à la manifestation nationale à l'appel de Civitas le 18 novembre à 14h30 du ministère de la famille jusqu'à l'Assemblée nationale.

 - Pour le 1er décembre, préparer, organiser et participer aux veillées de prière pour toute vie naissante auxquelles pourrait être ajoutée l'intention de prières pour les familles

 

 

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- Compter parmi les 50 000 chapelets aux intentions de la Vie et de la Famille lancés par la Famille missionnaire de l'Evangile de la Vie.

- Souscrire à la pétition de Civitas.

- Signer la pétition de Catholiques en campagne.

Contacter ses élus

- Diffuser la lettre de Jacques Bompard à son maire et à ses adjoints.

- Témoigner de la nette opposition du collectif des maires pour l'enfance.

- Faire connaître la demande de reconnaissance du droit à l'objection de conscience par l'association des maires de France.

Propager sans limitation les tracts et les dépliants de Paroles de catholiques.

Envoyer une carte de Catholiques en campagne à ses élus.

- Exiger des états généraux pour la famille demandés par le Collectif pour l'enfant.

Communiquer vers son prochain et motiver ses proches

Montrer l'engagement des AFC.

Faire siennes et propager Les 10 bonnes raisons du diocèse de Paris de s'opposer à la dénaturation du mariage.

- Être les porte-paroles de nos évêques qui s'engagent : Monseigneur Poinardici, Monseigneur Aumonier ici, Monseigneur d'Ornellas ici, Monseigneur Vingt-Trois ici, Monseigneur Lacrampe ici, Monseigneur Aillet ici, Monseigneur Minnerath ici, Monseigneur Daucourt ici, Monseigneur Barbarin ici, Monseigneur Rey ici.  

Aller vers tous les Français : ils sont tous concernés, toutes les religions sont unanimes : les Pentecôtistes ici, les Evangeliques ici, le Judaïsme ici, le CFCM ici.

 

 

 

 Source: Le Salon Beige

 

mercredi, 17 mars 2010

Réception de Simone Veil à l'Académie Française

 

une honte pour la France

 

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Rassemblement à Paris, quai du Louvre, Jeudi 18 mars 2010 à 14h




Rassemblement quai du Louvre (M° Pont-Neuf - Louvre-Rivoli) jeudi 18 mars à 14 h

Attention ! A la demande de la Préfecture de police, le lieu de rassemblement n'est plus quai Conti mais QUAI DU LOUVRE.

veil74.jpgLe nom de Simone Veil restera dans l'Histoire attaché à la loi qui, en France, a légalisé l'avortement. Ce n'est pas en raison de ses qualités d'écrivain que le concert des médias a salué l'entrée sous la coupole de l'ancienne ministre de la Santé de Jacques Chirac, mais parce qu'elle serait le symbole de la libération de la femme. Rappelons les faits. La dépénalisation de l'avortement qui, au fil du temps, est devenue un droit de la femme encore plus exigeant que les fameux droits de l'Homme, a été obtenue au terme d'une formidable campagne de désinformation allant jusqu'à avancer le chiffre de 300 000 avortements annuels clandestins. Aujourd'hui, il y a 200 000 avortements chirurgicaux par an. Ce serait la première fois qu'une loi libéralisant une pratique entraînerait une diminution de cette pratique. Ce mensonge initial ouvrait la voie à la banalisation du crime.

  • Crime contre Dieu, seul maître de la vie et de la mort.
  • Crime contre la dignité de la nature humaine : le respect de la vie humaine innocente est la clé de voûte sur laquelle repose toute organisation sociale respectueuse de la vraie nature de l'homme. Cette clé abattue, tout   s'effondre : 'Si une mère peut tuer son enfant, dans son propre sein, qu'est-ce qui nous empêche, à vous et à moi, de nous entre-tuer les uns les autres ?' n'hésitait pas à dire Mère Teresa lors de la cérémonie de remise du Prix Nobel de la Paix (Oslo, 1979). C'est la raison pour laquelle nos sociétés deviennent des jungles où le plus fort écrase le plus faible. Qui dira le poids des souffrances des femmes à qui on a menti, en leur faisant croire qu'un avortement n'était pas plus grave qu'une opération de l'appendicite ? Ainsi, l'inéluctable prise en compte du syndrome post-avortement sera un des axes majeurs du développement de la médecine gynécologique des décennies à venir.

Quant à la pseudo-libération de la femme, Bernanos avait depuis longtemps observé qu'il s'agissait essentiellement de la libération de la braguette.

  • Crime contre la nation : depuis 35 ans, 7 millions de personnes ne sont pas nées, avortées avant leur naissance. Elles font cruellement défaut à nos caisses de retraite et pèsent négativement, par leur absence, sur 'la relance par la consommation'. Il y a inter-action réciproque entre natalité et prospérité : ce n'est pas par hasard que les 'Trente glorieuses' correspondent au baby-boom.

Cette loi, bâtie sur le mensonge, n'entraîne dans son sillage que mort et désolation. Elle a fortement banalisé dans notre pays la culture de mort, qui ne cesse de se développer. 'Ne vivez pas dans le mensonge' tonnait Alexandre Soljenitsyne, alors que le mensonge était le lot quotidien de ses concitoyens consentants, piégés par un conformisme de survie humain mais débilitant.

Renaissance Catholique s'associe à la manifestation de protestation qui aura lieu le jeudi 18 mars, devant l'Académie française à 14 h, quai du Louvre.

Avec les associations présentes, Renaissance Catholique s'élève solennellement contre un hommage indu qui portera atteinte à l'honneur d'une institution au prestige jusqu'ici unanimement reconnu, fondée de plus par un Cardinal respectueux, par définition, de la loi naturelle et divine.

Tract des associations participantes

 

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Source

 

Renaissance Catholique

 

 


 

08:24 Publié dans Avortement, Message, Polémique, Pour la vie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : france, actualité, société, avortement | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mercredi, 17 février 2010

Mercredi des cendres, début de notre Carême

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Le sens du carême : "une occasion de redevenir chrétien"

 

 

Texte intégral de la catéchèse de Benoît XVI à l'audience du 21 février 2007 sur le sens du carême.

 

 

 

 

210207_ste_sabine.jpgChers frères et soeurs

 

 

Le Mercredi des Cendres, que nous célébrons aujourd'hui, est pour nous, chrétiens, un jour particulier de recueillement et de réflexion. Nous entreprenons, en effet le chemin du Carême, fait d'écoute de la Parole de Dieu, de prière et de pénitence. Il s'agit de quarante jours au cours desquels la liturgie nous aidera à revivre les étapes principales du mystère du salut. Comme nous le savons, l'homme avait été créé pour être l'ami de Dieu. Mais le péché de nos ancêtres a brisé cette relation de confiance et d'amour, et a rendu par conséquent l'humanité incapable de réaliser sa vocation originelle. Toutefois, grâce au sacrifice rédempteur du Christ, nous avons été sauvés du pouvoir du mal : en effet, le Christ, écrit l'apôtre Jean, s'est fait victime d'expiation pour nos péchés (cf. 1 Gn 2, 2), et saint Pierre ajoute : Il est mort pour les péchés une fois pour toutes (cf. 1 P 3, 18).

Mort au péché dans le Christ, le baptisé renaît lui aussi à la vie nouvelle, rétabli gratuitement dans la dignité d'enfant de Dieu. C'est pourquoi, dans la première communauté chrétienne, le Baptême était considéré comme la « première résurrection » (cf. Ap 20, 5 ; Rm 6, 1-11 ; Jn 5, 25-28). Dès les origines, donc, le Carême est vécu comme le temps de la préparation immédiate au Baptême, qu'il faut administrer solennellement au cours de la Veillée pascale. Tout le Carême était un chemin vers cette grande rencontre avec le Christ, cette immersion dans le Christ et ce renouveau de la vie. Nous sommes déjà baptisés, mais souvent, le Baptême n'est pas très efficace dans notre vie quotidienne. C'est pourquoi, pour nous aussi, le Carême est un « catéchuménat » renouvelé, à travers lequel nous allons à nouveau à la rencontre de notre Baptême pour le redécouvrir et le revivre en profondeur, pour devenir à nouveau réellement chrétiens. Le Carême est donc une occasion de « redevenir » chrétiens, à travers un processus constant de changement intérieur, et de progrès dans la connaissance et dans l'amour du Christ. La conversion n'est jamais faite une fois pour toutes, mais c'est un processus, un chemin intérieur de toute notre vie. Cet itinéraire de conversion évangélique ne peut certes pas se limiter à une période particulière de l'année : c'est un chemin quotidien, qui doit embrasser tout l'arc de l'existence, chaque jour de notre vie. Dans cette optique, pour chaque chrétien et pour toutes les communautés ecclésiales, le Carême est le temps spirituel favorable pour s'entraîner avec une plus grande ténacité à chercher Dieu, en ouvrant son cœur au Christ. Saint Augustin a dit un jour que notre vie est un unique exercice du désir de s'approcher de Dieu, de devenir capables de laisser entrer Dieu dans notre être. « La vie tout entière du fervent chrétien - dit-il - est un saint désir ». S'il en est ainsi, au cours du Carême, nous sommes encouragés encore plus à arracher « de nos désirs les racines de la vanité » pour éduquer le cœur à désirer, c'est-à-dire à aimer Dieu. « Dieu : - dit encore saint Augustin - ces deux syllabes sont tout ce que nous désirons » (cf. Tract. in Iohn., 4). Et souhaitons que nous commencions réellement à désirer Dieu et ainsi, à désirer la vie véritable, l'amour lui-même et la vérité.

L'exhortation rapportée par l'évangéliste Marc retentit alors de manière ô combien opportune : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle » (Mc 1, 15). Le désir sincère de Dieu nous conduit à rejeter le mal et à accomplir le bien. Cette conversion du cœur est tout d'abord un don gratuit de Dieu, qui nous a créés pour lui et qui nous a rachetés en Jésus Christ : notre véritable bonheur consiste à demeurer en Lui (cf. Jn 15, 3). C'est pour cette raison qu'il prévient lui-même, par sa grâce, notre désir, et qu'il accompagne nos efforts de conversion. Que signifie, en réalité, se convertir ? Se convertir signifie chercher Dieu, aller avec Dieu, suivre docilement les enseignements de son Fils, de Jésus Christ ; se convertir n'est pas un effort pour s'auto-réaliser, car l'être humain n'est pas l'archétype de son destin éternel. Ce n'est pas nous qui avons créé nos personnes. C'est pourquoi l'autoréalisation est une contradiction et est également trop peu pour nous. Nous avons une destination plus élevée. Nous pourrions dire que la conversion consiste précisément à ne pas se considérer les « créateurs » de soi-même et ainsi découvrir la vérité, car nous ne sommes pas les auteurs de nous-mêmes. La conversion consiste à accepter librement et avec amour de dépendre en tout de Dieu, notre véritable Créateur, de dépendre de l'amour. Ce n'est pas une dépendance mais la liberté. Se convertir signifie alors ne pas rechercher son succès personnel - qui est quelque chose qui passe - mais, en abandonnant toute certitude humaine, se placer avec simplicité et confiance à la suite du Seigneur pour que Jésus devienne pour chacun, comme aimait à le répéter la bienheureuse Teresa de Calcutta, « mon tout en tout ». Celui qui se laisse conquérir par Lui ne craint pas de perdre sa propre vie, car sur la Croix Il nous a aimés et s'est donné lui-même pour nous. Et précisément en perdant notre vie par amour nous la retrouvons.

J'ai voulu souligner l'immense amour que Dieu éprouve pour nous, dans le message pour le Carême, publié il y a quelques jours, afin que les chrétiens de chaque communauté puissent s'arrêter spirituellement, au cours du temps quadragésimal, avec Marie et Jean, le disciple bien-aimé, aux côtés de Celui qui, sur la Croix, a consommé pour l'humanité le sacrifice de sa vie (cf. Jn 19, 25). Oui, chers frères et sœurs, la Croix est la révélation définitive de l'amour et de la miséricorde divine également pour nous, les hommes et les femmes de notre époque, trop souvent distraits par des préoccupations et des intérêts terrestres et passagers. Dieu est amour, et son amour est le secret de notre bonheur. Cependant, pour entrer dans ce mystère d'amour il n'y a pas d'autre voie que celle de nous perdre, de nous donner, la voie de la Croix. « Si quelqu'un veut marcher derrière moi - dit le Seigneur -, qu'il renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix, et qu'il me suive » (Mc 8, 34). Voilà pourquoi la Liturgie quadragésimale, alors qu'elle nous invite à réfléchir et à prier, nous incite à valoriser davantage la pénitence et le sacrifice, pour rejeter le péché et le mal et vaincre l'égoïsme et l'indifférence. La prière, le jeûne et la pénitence, les œuvres de charité envers nos frères deviennent ainsi les sentiers spirituels à parcourir pour retourner à Dieu, en réponse aux appels répétés à la conversion contenus également dans la liturgie d'aujourd'hui (cf. Jl 2, 12-13 ; Mt 6, 16-18).

Chers frères et sœurs, que la période quadragésimale, que nous entreprenons aujourd'hui avec le rite austère et significatif de l'imposition des Cendres, soit pour tous une expérience renouvelée de l'amour miséricordieux du Christ, qui sur la Croix a versé son sang pour nous. Mettons-nous docilement à son école, pour apprendre à « redonner », à notre tour, son amour au prochain, en particulier à ceux qui souffrent et qui sont en difficulté. Telle est la mission de chaque disciple du Christ, mais pour l'accomplir il est nécessaire de rester à l'écoute de sa Parole et de se nourrir avec assiduité de son Corps et de son Sang. Que l'itinéraire quadragésimal, qui dans l'Eglise antique est l'itinéraire vers l'initiation chrétienne, vers le Baptême et l'Eucharistie, soit pour nous baptisés un temps « eucharistique » au cours duquel nous participons avec une plus grande ferveur au sacrifice de l'Eucharistie. Que la Vierge Marie qui, après avoir partagé la passion douloureuse de son divin Fils, a fait l'expérience de la joie de sa résurrection, nous accompagne au cours de ce Carême vers le mystère de la Pâque, révélation suprême de l'amour de Dieu.

Bon Carême à tous !

 

mardi, 16 février 2010

Eglise catholique: note doctrinale sur le mariage et les unions homosexuelles.

 

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Il est impossible de se considérer comme catholiques si on reconnaît le droit au mariage entre personnes du même sexe

 

 

6a00d83451619c69e20120a8a2287c970b-120wi.jpgLe cardinal Caffarra, archevêque de Bologne, a publié une note doctrinale sur le mariage et les unions homosexuelles. Extraits :

"La présente note s'adresse en premier lieu aux fidèles afin qu'ils ne soient pas troublés par les rumeurs des mass-media. Mais j'ose espérer qu'elle sera prise en considération par ceux qui, comme non-croyants, ont l'intention de se servir, sans aucun préjugé, de leur raison.

1. Le mariage est l'un des biens les plus précieux de l'humanité. [...] En Occident, l'institution du mariage traverse sans doute sa crise la plus grave. Je ne dis pas cela à cause du nombre croissant de divorces et de séparations; je ne le dis pas à cause de la fragilité qui semble miner toujours plus le lien matrimonial: je ne le dis pas à cause du nombre croissant d'unions libres. Autrement dit, je ne le dis pas en observant des comportements. La crise concerne le jugement sur le bien du mariage. C'est face à la raison que le mariage est entré en crise, dans le sens où il ne jouit plus d'une estime à la mesure de son caractère précieux. La vision de son unicité éthique incomparable a été obscurcie.

Le signe le plus évident, même si ce n'est pas le seul, de cette "désestime" intellectuel est le fait que certains Etats concèdent, ou vont concéder une reconnaissance légale aux unions homosexuelles qui vise à les assimiler à l'union légitime entre un homme et une femme, incluant la possibilité d'adopter des enfants. Peu importe le nombre de couples qui pourraient bénéficier de cette reconnaissance - même s'il y en avait un seul! - une telle assimilation constituerait une blessure grave au bien commun. [...]

2. L'assimilation, sous quelque forme ou à quelque degré que ce soit, d'unions homosexuelles au mariage aurait objectivement la signification de déclarer la neutralité de l'Etat face à deux manières de vivre la sexualité qui ne sont en réalité pas également pertinentes pour le bien commun. [...]

3. Une autre considération que je soumets à ceux qui veulent réfléchir sereinement à ce problème. L'assimilation aurait, d'abord dans l'ordre juridique, puis dans l'ethos de notre peuple, une conséquence que je n'hésite pas à qualifier de dévastatrice. Si les unions homosexuelles devaient être traitées comme le mariage, celui-ci serait dégradé à n'être plus qu'une des façons de se marier, indiquant que pour l'Etat, il est indifférent que l'on fasse un choix plutôt qu'un autre. En d'autres termes, l'assimilation signifierait objectivement que le lien de la sexualité avec la procréation et l'éducation des enfants est un fait qui n'intéresse pas l'État étant donné qu'il n'a aucune importance pour le bien commun. Et avec cela, c'est l'un des piliers de notre ordre juridique qui s'écroulerait: le mariage comme un bien public. [...]

4. Je voudrais maintenant prendre en considération quelques-unes des raisons invoquées à l'appui de cette assimilation. La première et la plus courante est que la tâche première de l'Etat est de supprimer toute discrimination dans la société, et dans un but positif, d'étendre le plus possible la sphère des droits subjectifs. [...] Ne pas attribuer le statut légal du mariage à des formes de vie qui ne sont pas et ne peuvent pas être des mariages, n'est pas de la discrimination, mais simplement reconnaître les choses comme elles sont. La justice est la Seigneurie de la vérité dans les relations entre les personnes. [...]

5. Je m'adresse à présent au croyant qui a des responsabilités publiques, de quelque sorte que ce soit. Outre le devoir partagé avec tout un chacun de promouvoir et de défendre le bien commun, le croyant a aussi un grave devoir de cohérence totale entre ce qu'il croit et ce qu'il pense à ce sujet et propose pour le bien commun. Il est impossible de faire cohabiter dans sa propre conscience la foi catholique et le soutien pour l'égalité entre les unions homosexuelles et le mariage: les deux sont contradictoires. De toute évidence la responsabilité la plus grave incombe à ceux qui proposent d'introduire dans notre système juridique cette assimilation, ou vote au Parlement en faveur d'une telle loi. Il s'agit d'un acte publiquement et gravement immoral. [...]

Il est impossible de se considérer comme catholiques si, d'une manière ou d'une autre on reconnaît le droit au mariage entre personnes du même sexe."

 

 

 

A lire aussi:

Vatican

 

 

 

Source

La Salon Beige

 

 

 

20:55 Publié dans Homosexualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : homosexualité, homosexuel, société, eglise catholique, actualité | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mardi, 19 janvier 2010

Paix liturgique a besoin de nous!

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Ad Majorem Dei Gloriam !

 

Des sondages sur les catholiques et la messe traditionnelle devenue "Extraordinaire", Paix Liturgique en avait déjà commandité quatre depuis 2001 (sondage DOXA en octobre 2009 pour Italie, sondage CSA du 24 et 25 septembre 2008, sondage CSA du 8 novembre 2006 et sondage IPSOS de 2001 pour la France).

Pourtant, celui réalisé sur le diocèse de Versailles en décembre 2009 dont nos lettres 212 et 213 se sont faites l'écho a suscité un énorme engouement de la part de nos lecteurs.

Une avalanche de courriers électroniques et de lettres - le plus souvent enthousiastes et positifs - nous arrive en effet depuis la publication de ce sondage versaillais.

Ce sondage, dans la lignée des enquêtes d'opinion précédentes réalisées sur le sujet, a intéressé tant les fidèles du diocèse de Versailles - qui sont plus que jamais motivés pour réactiver leurs demandes enterrées par leurs curés - que les fidèles de toute la France et du reste du monde, qui aimeraient qu'une telle enquête d'opinion soit aussi réalisée dans leurs diocèses.

Convaincue de l'utilité de ces sondages, Paix Liturgique entend bien avec vous, en commanditer d'autres. Après Versailles, un sondage sur le diocèse de Paris devrait rapidement être mis en œuvre.
Nous vous en reparlerons bientôt.

Afin de nous aider à continuer notre travail d'information et à combattre ainsi les inexactitudes et les idées reçues entretenues par un clergé décalé, nous avons besoin de vous.

Le sondage versaillais a coûté 4.200 €. Il nous reste 1.370 € à financer.

Le coût du sondage parisien à venir est estimé à 5.200 €, soit un total de 6.570 € à réunir avant le 15 février prochain.

Les petits ruisseaux font les grandes rivières, apportez votre pierre à notre travail de ré-information et œuvrez ainsi à la politique de paix et de restauration de Benoît XVI.

Christian Marquant et toute l'équipe du mouvement pour la Réconciliation et la Paix liturgique

 


Pour nous aider

- Merci de libeller votre chèque à l'ordre de Paix Liturgique et de l'adresser à : Paix Liturgique, 1 allée du Bois Gougenot, 78290 CROISSY-SUR-SEINE.
Nous vous ferons parvenir systématiquement un reçu fiscal en début d'année.

- Pour les transferts bancaires, merci d'utiliser les coordonnées ci-dessous :
Code banque     Code guichet        N° compte           Clé RIB
30003                       02197           00050001585             93

- Pour tous renseignements, contactez-nous par courrier, par courriel à contact@paixliturgique.org ou au 06 88 23 74 52.

 

 

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NOS REGLES D'ANNONCE DES CELEBRATIONS EXTRAORDINAIRES

Nous vous indiquons ci-dessous les célébrations selon la forme extraordinaire mises en place dernièrement dans nos diocèses, les groupes de demandeurs qui se créent ou qui développent leur action, ainsi que les messes qui ont lieu dimanche prochain, mais n'ont pas lieu tous les dimanches. Pour les célébrations hebdomadaires dans toute la France, vous pouvez consulter le site :

Paix liturgique

 

 

 

Demandes de messes en cours dans le diocèse de Grenoble

Fidèles de Voiron

motu38@aol.fr
http://motuproprioenisere.hautetfort.com/


Fidèles d'Echirolles, Saint-Martin-d'Heres,La Tour-du-Pin et Vienne

Fidèles de Beaurepaire

 

 

07:26 Publié dans Message | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : benoît xvi, société, actualité, messe, sondage | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |