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dimanche, 17 janvier 2010

Le courage de déplaire

 

 

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03.6 - Ch. DELSOL - 93 - I 10.pngLe pape a mauvaise presse: oui, cela, tout le monde le sait. Mais qu’y a-t-il derrière ? Est-ce, à travers lui, l’Église qui a mauvaise presse ? Ou bien la figure de la papauté comme autorité ?

C’est à cette question que tente de répondre l’auteur dans un livre d’entretiens avec l’éditeur Marc Leboucher (1).
Les papes d’aujourd’hui vivent dans le monde des médias. Ils doivent penser à leur image. Jean-Paul II possédait le don de séduire. Ce qui pourtant n’est pas essentiel : la foi passe-t-elle par la séduction ? Non. Même si une forme de charisme peut jouer dans la pastorale, il y faut bien davantage. Cependant, qu’il le veuille ou non, un pape aujourd’hui a en quelque sorte une image à défendre.


Celle du pape Benoît XVI tient à plusieurs faits. Avant d’être pape, Joseph Ratzinger avait été préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, héritière de la Congrégation de l’Inquisition. De quoi faire frémir les journalistes. Ses discours contre le nihilisme et le relativisme confirment cette image : parce qu’il est conservateur, les médias le décrivent tout naturellement comme un intégriste. Lorsqu’il est élu, c’est un écoeurant festival. Ratzinger est allemand et, en tant que tel, il a été enrôlé en 1941, à 14 ans, dans les Jeunesses hitlériennes. La photo passe en boucle, laissant entendre que le Saint-Esprit a élu un pape nazi. La reductio ad hitlerum est l’argument décisif de tant d’imbéciles : les Guignols de l’info l’appellent "Adolf II".


Autrement dit, parce qu’il est conservateur, le pape Benoît XVI devient nazi : une antienne. Et cependant, comme le dit Bernard Lecomte, un pape pourrait-il être autre chose que conservateur ? Certes, au sens où il est le gardien des dogmes, sinon pourquoi l’institution de l’Église ? Mais bien davantage, dirais-je, au sens où l’Église veut défendre contre vents et marées, derrière le Christ, une image de l’homme dont la modernité voudrait se débarrasser en instituant un nouvel homme artificiel, construit par notre volonté prométhéenne – et digne, parfois, des caprices monstrueux de Frankenstein.
Le fait est que la vindicte qui s’attache au pape actuel est particulièrement vivace en France, où la culture religieuse est pratiquement descendue sous zéro, et où la culture antireligieuse a acquis de véritables lettres de noblesse. Dès qu’un pape se rend en France, les médias se déchaînent pour reprocher aux autorités le coût du voyage. Il existe dans notre pays, issu de la laïcité militante, un fort antichristianisme, auquel s’expose d’autant plus un pape conservateur.


La société contemporaine, qui n’a plus pour religion que celle des droits de l’homme, entend ceux-ci de façon exclusivement individualiste. Pour elle, respecter les droits, c’est respecter le désir de chaque individu, sans s’occuper de savoir si son désir est aberrant, contre-nature ou même criminel. C’est pourquoi le discours de l’Église sur la morale revient à une gifle, à une provocation majeure. La morale est hétéronome, elle nous impose de l’extérieur des lois que nous n’avons pas construites, et cela répugne à notre toute puissance. Et pourtant, quand le pape, à l’indignation générale, parle du préservatif en Afrique, il est aussitôt confirmé par des gouvernements africains, qui connaissent leur affaire.
Il y a aussi que ce pape est un intellectuel et, à ce titre, il n’a pas de réticence à exprimer le fruit de ses réflexions, en cherchant l’objectivité bien davantage que l’acquiescement consensuel. Et quand il parle de l’islam, il se moque de déplaire pourvu qu’il dise vrai. Oubliant, peut-être, qu’en tant que pape il lui faudrait se méfier des interprétations belliqueuses de son discours.


Bernard Lecomte précise à juste titre que la mauvaise presse du pape provient tout simplement de ce qu’il se tient en général au-dehors de ce qu’il faut dire. Mais il est bien cocasse de voir Marc Leboucher entonner à notes hautes le couplet contre les moutonniers du politiquement correct, lui qui manifeste dans la vie une peur panique de ne pas penser comme tout le monde.
Au temps du communisme, nous avons reçu Jean- Paul II, un soldat, et c’était bien d’un soldat que nous avions besoin. À présent, le défi n’est plus de battre un totalitarisme vénéré même par nos pairs, mais de récuser un nihilisme qui emporte dans ses rets nos propres enfants. Benoît XVI est providentiel pour cette tâche-là. Il sera critiqué sans relâche, et nous avec. Que cette mise en cause permanente développe en nous l’humour plutôt que l’aigreur: c’est tout ce qu’on peut souhaiter.

Un article de Chantal Delsol

 

 

 

 

(1) Pourquoi le pape a mauvaise presse, entretiens de Bernard Lecomte avec Marc Leboucher, Desclée De Brouwer, 204 pages, 16 €.
Paru dans Valeurs actuelles, 7 janvier 2010

Source

Magistro

 

 

 


lundi, 16 novembre 2009

VIVE LE MARIAGE

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ABOLITION DU PACS

 

MAINTENANT

 

 

 

Le PaCS a dix ans.

Parce que :

- le PaCS institutionnalise la précarité. Comme disait Napoléon à qui nous devons le Code civil : « Les concubins ignorent la loi, la loi les ignore ». Pour bénéficier des avantages du mariage, les concubins n’ont qu’à se marier. Mais le mariage a un prix : l’engagement public. L’Etat, pour une société plus stable, moins précaire, moins cruelle avec les plus faibles, a le devoir d’encourager cet engagement, donc le mariage. Favoriser le Bien commun, c’est « ne pas remplacer la famille par d’autres institutions ou d’autres formes d’unions ». Les hommes et les femmes de bonne volonté doivent agir ensemble en « [célébrant] la beauté et la fécondité de la famille, fondée sur le mariage, sa vocation exaltante et son rôle indispensable au sein de la société » (Benoît XVI). Au lieu de cela, l’Assemblée nationale et le Sénat, très majoritairement composés d’hommes, ont mis en place le PaCS il y a maintenant dix ans. Véritable régression, il permet, entre autres, la répudiation de la femme par l’homme. Source de précarité pour l’enfant, le PaCS est une régression pour notre société.

- le PaCS menace le mariage. Il a été signé 145 000 PaCS en 2008 contre 101 000 en 2007 et 22 000 en 2000. En 2008, justement, 273 500 mariages ont été célébrés en France. Un chiffre en baisse depuis 2000 (305 000 mariages). On le constate, le PaCS entre homme et femme est en train de concurrencer le mariage. De le rattraper et même de le dépasser : alors qu’en 2007 on comptait 443 Pacs pour 732 mariages dans le XIe arrdt de Paris, en octobre 2009, le nombre de Pacs a depassé pour le moment le nombre de mariages: 583 Pactes pour 521 mariages. Or :

* le mariage assure la pérennité de notre société et l’union de l’homme et de la femme ne relève pas de la seule sphère privée. Elle a précisément une fonction publique parce que c’est en son sein que naissent les enfants. Or, selon le mot d’Ernest Renan, « aucune civilisation n’a été bâtie par des personnes seules, nées de parents inconnus et mortes célibataires sans enfants ».

* le mariage assure la protection des membres de la famille, notamment de la femme et des enfants.

- le PaCS a été mis en place pour satisfaire les revendications des lobbies homosexuels qui prétendent parler au nom de tous les homosexuels. Il est une première étape vers le « mariage » homosexuel. Le père du PaCS, le député Patrick Bloche ou la présidente de la Commission des lois à l’Assemblée nationale de l’époque, Catherine Tasca, ne l’ont jamais caché.

On n’a même jamais autant parlé de « mariage » homosexuel que depuis le vote des lois sur le PaCS du 15 juin 1999 et du 23 juin 2006. C’est d’ailleurs à l’occasion des 10 ans du PaCS que le maire de Montpellier, Hélène Mandroux-Colas, a lancé un « appel des maires en faveur de l’ouverture du mariage aux couples homosexuels »

La droite en 1999 ne s’y était pas trompée. Elle avait massivement voté contre le projet de loi socialiste instituant le PaCS. Elle était à l’époque dans l’opposition.

Elle est aujourd’hui au pouvoir.

Entre temps, le PaCS a prouvé qu’il était synonyme de plus de précarité.

Nous demandons l’abolition d’une atteinte insupportable au droit à la pérennité et à la stabilité des familles.

Nous demandons l’abolition d’une atteinte en puissance au droit de l’Enfant à avoir un Papa et une Maman.

Nous demandons l’abolition du PaCS.

Maintenant.

 

 

 

 

 

 

 

18:38 Publié dans Famille, Polémique, Réflexion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pacs, actualité, société, famille, député | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mardi, 10 novembre 2009

Rosaires pour la vie

 

 

Dans de nombreuses villes de france





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LISTE DES ROSAIRES  de SOS TOUT PETITS

 


le Samedi 14 NOVEMBRE 2009 à 14 h 30




AIX EN PROVENCE : à l'angle des rues Henri Pontier et des Tamaris,
AVIGNON : Notre Dame des Dons
ALENÇON : rue Fresnay près de l'hôpital,
ANGERS : place du maréchal Leclerc, près du Palais de Justice,
ANGOULÊME : place de l'église  St Martial,
AUXERRE : parvis de la cathédrale St Etienne,
BESANÇON : place de la cathédrale,
BORDEAUX : parvis de la cathédrale St André,
BREST : église Saint Louis
CAEN : place de la Résistance, statue de Jeanne d'Arc,
DIJON : avenue du maréchal de Lattre près de l'hôpital du Bocage,
GRENOBLE : hôpital de la Tronche,
LAVAL : place de la Tremoille sous la cathédrale,
LILLE : angle de l'avenue Kennedy et de la rue de Paris,  à 10 h 30
LYON : quai du Rhône à 15 h,  
MARSEILLE : hôpital de la Timone,
MONTPELLIER : esplanade Ch. de Gaulle, devant le monument aux Arméniens,
NANCY : place d'Alliance,
NANTES :  parvis de l'église St Nicolas
PARIS :  place St Michel,
PERPIGNAN : promenade des Platanes pris du palais des Congrès,
POITIERS : parvis de Notre Dame la Grande
SAINT ETIENNE : cathédrale Saint Charles
TOULON :  place Louis Blanc, près de saint François de Paul
TOULOUSE : devant la cathédrale Saint Etienne
VANNES : parvis de la cathédrale,
VERSAILLES : place du Marché,
VICHY : parvis de l'église St Louis,
A l'étranger en union avec les prières de SOS Tout Petits en France :
Belgique : NAMUR rue Blondeau, en face du Planning,
Côte d'Ivoire : ABIDJAN devant l'hôpital d'Abidjan-Treischville
Luxembourg : messe à 18 h à la cathédrale
Philippines : GENERAL SANTOS (Mindanao) parvis de la cathédrale
SAN PALOC : cathédrale
MANILLE : cathédrale

 

 

Source

Le Salon Beige

18:57 Publié dans Famille, Message, Polémique, Pour la vie, Prière | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : avortement, famille, enfance, société, actualité | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

samedi, 12 septembre 2009

Hommage à la plus grande des “Feminists for Life”

 

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La mort du sénateur Ted Kennedy, le 25 août dernier, a largement occulté celui d’une personnalité beaucoup plus lumineuse – sa sœur aînée Eunice Kennedy Shriver – survenu le 11 du même mois. Elle fut la seule du “Clan”, dès le début des années soixante-dix, à n’abdiquer aucune de ses convictions catholiques sur le droit des enfants à naître, et celui des plus faibles à être défendus.


Son action en faveur des jeunes déficients mentaux commence dès 1962, lorsqu’elle persuade son frère John devenu président de mettre en place une première commission d’étude sur le retard au développement. En 1968, Eunice Kennedy crée les “Special Olympics”, championnats sportifs réservés aux handicapés mentaux. L’année suivante, elle mobilise son mari Sargent Shriver, alors ambassadeur des Etats-Unis en France, et le professeur Jérôme Lejeune pour parrainer la première édition française de ces jeux olympiques spéciaux, qui rassemblent aujourd’hui près de trois millions de participants dans 170 pays.

“Ne les tuez pas : donnez-les moi !”

Mais la “Mère Téresa des handicapés mentaux” est aussi et surtout la Mère Téresa des enfants à naître. Elle sent venir la plus grande menace de génocide étatique des XXe et XXIe siècles, qui a déjà battu dans les statistiques tous les records établis par Hitler, Staline, Mao et Pol Pot réunis : dès 1972, un an avant la législation fédérale de l’avortement par la Cour Suprême des Etats-Unis, elle lance en effet la plus spectaculaire campagne de sa vie, “One million fot Life”. Il ne s’agit pas d’argent. L’objectif est de recruter un million de foyers américains candidats à l’adoption des “enfants non désirés”.


Bien entendu, Eunice Kennedy n’en trouvera pas autant. Mais son plaidoyer inlassable sur les droits de l’enfant à naître et ses actions pour multiplier en Amérique les centres d’accueil des futures mères en détresse vont marquer d’une empreinte extrêmement positive le mouvement “pro Life” aux Etats-Unis. L’action d’Eunice va le placer, pour l’essentiel, sous le patronage de la Mère Téresa, qui se préoccupait moins de condamner les avorteurs que de sauver les enfants: “Si vous entendez dire qu´une femme ne veut pas avoir son enfant et veut avorter, essayez de la convaincre qu´elle me laisse ce bébé. Je l´aimerai, voyant en lui le signe de l´amour de Dieu". (Discours de réception du prix Nobel de la Paix, Oslo, 10 décembre 1979).”


Ouvrir le champ des alternatives à l’IVG


L’empreinte d’Eunice Kennedy va marquer aussi aux USA l’évolution de la loi, comme l’a très bien noté sur place Anne-Hélène O’Malley :

La femme en situation de grossesse non désirée peut en effet aux États-Unis choisir le type de plan d'adoption qu'elle souhaite. Dans un plan d'adoption ouvert, elle pourra avoir des contacts directs avec son enfant et la famille adoptive. Dans une adoption semi-ouverte, elle sera informée des progrès de l'enfant à travers des lettres et des photos. Si la femme ne veut aucun contact avec l'enfant ou la famille adoptive, elle peut aussi choisir un plan d'adoption fermé.”

“Mon travail dans un centre de grossesse aux États-Unis m'a permis de constater qu'une femme en situation de grossesse non désirée se remet beaucoup plus vite dans le cas d'une adoption ouverte où elle est rassurée sur le sort de son enfant que dans une adoption fermée où ce n'est pas le cas. Elle se remet aussi plus vite dans une adoption fermée que dans une IVG. Même si le processus de deuil est au départ assez similaire, il s'arrête plus rapidement dans l'adoption fermée avec la pensée consolante que son enfant est en vie. En revanche, dans l'IVG, le deuil semble interminable.”

(Anne-Hélène O’Malley : Et si on parlait de l’adoption ? Liberté politique.com)


L’énorme disproportion des forces

 


En France, le champ de l’adoption est très mince (moins de 4000 par an, dont plus de 85% en provenance de l’étranger), le chemin reste très long, et une candidature sur deux finit par renoncer.

Le nombre d’enfants officiellement adoptables en France se situerait désormais aux alentours de 500 par an, pour 220 000 IVG… Et la procédure d’accouchement sous X, qui permettait de sauver plus de dix mille bébés par an dans les années soixante-dix et quatre-vingt, se limite aujourd’hui d’après les statistiques officielles à quelques centaines de cas.

Ces chiffres ne font que traduire l’énorme disproportion des forces en présence dans le combat pour et contre la vie. Il ne s’agit pas ici des manifestations de rues, si légitimes et nécessaires soient-elles, mais des actions concrètes, sur le terrain, pour faire pencher la balance dans la tête et le cœur des futures mamans.

D’un côté, quelques dizaines d’associations qui militent avec les moyens du bord pour l’accueil, l’écoute et l’aide matérielle des futures mères en situation de détresse.

De l’autre, un colossal système de pression sociale et médiatique pour leur fermer tout autre choix que celui de l’IVG, avec des centaines de milliers de professionnels subventionnés, convaincus et aguerris à la situation, dans les infirmeries des écoles, les services “d’assistance sociale”, les centres du Planning Familial et les hôpitaux.

 


Quelques adresses utiles de l’accueil pour la vie :

  • Alliance pour les Droits de la Vie (ADV). Site : http://www.adv.org
  • Laissez-les-vivre/SOS-Futures Mères. Site : http://laissezlesvivre.free.fr
  • Mère de Miséricorde France. Site : http://www.mere-de-misericorde-france.org
  • Les Nids de Paris. Site : http://www.nidsdeparis.org
  • L’Association des Maisons de Bethléem. Mail : maisonsdebethleem@gmail.com Cet e-mail est protégé contre les robots collecteurs de mails, votre navigateur doit accepter le Javascript pour le voir
  • La Maison Tom Pouce. Site : http://www.lamaisontompouce.fr
  • Centre maternel Accueil Samarie de la Fondation d’Auteuil. Site : http://www.fondation-auteuil.org
  • SOS Bébé. Site : http://www.sosbebe.org

SOS Bébé fournit sur son site l’indication de toutes les ressources disponibles en France pour les futures mères en détresse, par département.

N’hésitez pas à contacter et soutenir ces petites associations. On lit dans le Livre de la Genèse que, pour dix Justes seulement qu’Abraham lui aurait trouvé, Yahvé eut épargné Sodome et Gomorrhe de la destruction.





©Emmanuel Barbier/sedcontra.fr, sept. 2009










22:30 Publié dans Pour la vie | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : société, avortement, catholique, famille | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

vendredi, 11 septembre 2009

Grippe A(H1N1): une chanson pour dédramatiser


 

 

 

 

Dans le flot d’informations qui tombent au sujet de la grippe A, on trouve rarement de quoi rigoler un bon coup. Donc, autant sauter sur l’occasion – rare – lorsqu’elle se présente. Sous la forme cette fois d’une chanson diffusée sur internet et les radios depuis quelques jours seulement.

Intitulée «Tamiflu», elle reprendre les notes de «Mexico»  et le phrasé de Luis Mariano. Avec des paroles au goût du jour, cette parodie fort réussie en déridera plus d’un. Même si au détour d’un couplet, l’humour se fait un peu plus noir. On peut notamment entendre : «Si l’on vous met en quarantaine, en arrivant d’un pays chaud, pour pouvoir s’en sortir indemne, faudra plus qu’une verveine pour ne pas finir au frigo.»

En attendant, «Tamiflu, Tamiiiiiifluuuu, seulement sur ordonnan… an…ce !», comme le dit le refrain

 

 

 

 

Source

 

le Nouvelliste

Les conseils de Marie-Thérèse Porchet


08:39 Publié dans Grippe | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : grippe, pandémie, société, actualité | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |