Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

3ème lettre

En date du 05 janvier 2009, nous avons repris contact avec Monseigneur de Kerimel afin de savoir si, un an après notre demande d’application du Motu Proprio, la situation pouvait enfin évoluer favorablement.
Nous ayant vu répondre par courrier du 15 janvier « que l’on va parfois plus vite en avançant lentement », nous estimons que cette fulgurante figure de style nous laisse malheureusement dans la profonde tristesse d’un sentiment de totale incompréhension et nous sommes affligés de devoir la considérer comme une fin de non recevoir à durée indéterminée.

Nous avons fait part de ce sentiment à notre évêque et en précisant que nous nous voyons dans l’obligation légitime de prendre toutes les dispositions nécessaires en vue de l’application de l’art. 7 du Motu Proprio.

Publié dans Lettres à nos lecteurs | Lien permanent