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mardi, 19 janvier 2010

Le film "Agora": catophobie et mensonge historique


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Un film qui va jusqu'à inventer que ce sont des moines catholiques qui ont brulé la bibliothèque d'Alexandrie... si, ils ont osé... et sont allé jusque là :


"A l'arrivée, devant la lâcheté du préfet, laquelle cède face à la foule chrétienne, et bien que ce dernier fasse protéger la fuite des païens, les chrétiens envahissent le temple et la bibliothèque. Ils déboulonnent et détruisent les statues des dieux et notamment la statue de Sérapis au sein de son temple. Ils procèdent à des autodafés de parchemins et brûlent des œuvres majeures de l'antiquité aux cris de « Mort aux païens ». Les moines fanatiques, en tenue noire et l'épée à la main, saccagent l'ensemble du bâtiment, qu'ils incendient par la suite.

Une fois les païens vaincus, les moines chrétiens s'en prennent aux Juifs, lapidés dans un théâtre communautaire. Ces derniers se défendent en piégeant les moines persécuteurs dans leur propre église et en les lapidant à leur tour. La conséquence est que les chrétiens organisent un véritable pogrom, massacrant femmes et enfants, alors que les juifs n'avaient tué que des hommes coupables par ailleurs de divers meurtres. Enfin, les juifs survivants sont expulsés de la ville. L'image est ainsi saisissante (...)

Le christianisme est ainsi présenté sciemment, tout en respectant les faits historiques, comme une religion d'intolérance et de fanatisme, destructrice des arts et des sciences, misogyne, accomplissant dans les faits le contraire des dogmes officiels".

etc, etc...

A noter :

"Nicole Kidman fut approchée pour le rôle d'Hypatie mais elle le refusa par peur de la controverse religieuse que pourrait susciter le film".

Nos évêques vont-ils réagir comme leurs confrères d'Italie où le film est interdit? Il suffit peut-être de les informer de la réalité de ce navet à l'affiche depuis le 6 janvier...

(merci à NM)

 

 

Source

Le Salon Beige

 

 

08:01 Publié dans Catophobie, Polémique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, agora, actualité, catophobie, histoire | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mercredi, 16 avril 2008

Messe en latin à VOIRON

 Première rencontre avec Monseigneur de Kerimel.
 
 
 
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Malgré un emploi du temps chargé, Monseigneur de Kerimel Evèque du diocèse de Grenoble – Vienne, a reçu une délégation de deux personnes.
Son accueil fut très chaleureux et l’échange se fit dans un esprit profondément chrétien. L’Evèque leur fit part que bien que n’ayant pas un attachement particulier à la forme extraordinaire de l’unique rite, il reste néanmoins convaincu que cette forme trouve sa place dans le cadre de la diversité de l’Eglise d’aujourd’hui. En rejoignant l’objectif même du Motu Proprio, il estima que l’acceptation des différences représentait le véritable esprit de tolérance de ceux qui souhaitent se retrouver dans le Christ. Monseigneur pria de faire preuve de patience quant à l’application prochaine du Motu Proprio en considérant certaines priorités actuellement déjà mises en place au sein du diocèse et demanda de garder confiance quant à la suite qu’il donnera à la demande et dont il ne manquera pas d’informer les intéressés.
 
 
Si vous souhaitez vous associer à notre demarche, nous vous invitons à nous rejoindre. Vous pouvez aussi nous contacter pour nous faire part de vos encouragements, remarques, questions ou informations.


motu38@aol.fr
 
 
 
 
 

07:08 Publié dans Lettres à nos lecteurs | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : femme, éducation, famille, ump, société, politique, histoire | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

samedi, 22 mars 2008

Samedi Saint

 
 
 
 
 
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"On me compte parmi les morts qui descendent à la fosse.
Je suis un homme sans force, couché parmi les morts.
On m'a mis dans la fosse profonde,
dans les ténèbres, dans l'abime."
 
 
( Psaume 87 ; Office des Ténèbres du Samedi Saint )
 
 
 
 
 
 
 
Commentaire de Dom Gueranger sur l'office du jour 
 
 

La nuit a passé sur le sépulcre où repose le corps de l'Homme-Dieu. Mais si la mort triomphe au fond de cette grotte silencieuse, si elle tient dans ses liens celui qui donne la vie à tous les êtres, son triomphe sera court. Les soldats ont beau veiller à l'entrée du tombeau, ils ne retiendront pas le divin captif, quand il prendra son essor. Les saints Anges adorent, dans un respect profond, le corps inanimé de celui dont le sang va « pacifier le ciel et la terre ». Ce corps séparé de l'âme pour un court intervalle est demeuré uni au Verbe divin ; l'âme qui a cessé un moment de l'animer, n'a point non plus perdu son union avec la personne du Fils de Dieu. La divinité reste unie même au sang épanché sur le Calvaire, et qui doit rentrer dans les veines de l'Homme-Dieu, au moment de sa prochaine résurrection.


Nous aussi, approchons de ce tombeau, et vénérons à notre tour la froide dépouille du Fils de Dieu. Nous comprenons maintenant les effets du péché. « C'est par le péché que la mort est entrée dans le monde et qu'elle a passé dans tous les hommes. » Jésus, « qui n'a point connu le péché», a cependant permis à la mort d'étendre jusque sur lui son empire, afin d'en diminuer pour nous les horreurs et de nous rendre, en ressuscitant, cette immortalité que le péché nous avait ravie. Adorons dans toute notre reconnaissance ce dernier anéantissement du Fils de Dieu. Il avait daigné, dans son incarnation, prendre « la forme d'esclave » ; en ce moment, il est descendu plus bas encore. Le voilà sans vie et glacé dans un tombeau ! Si ce spectacle nous révèle l'affreux pouvoir de la mort, il nous montre bien plus encore l'immense et incompréhensible amour de Dieu pour l'homme. Cet amour n'a reculé devant aucun excès; et nous pouvons dire que si le Fils de Dieu s'est abaissé outre mesure, nous avons été d'autant plus glorifiés par ses abaissements. Qu'elle nous soit donc chère cette tombe sacrée qui doit nous enfanter à la vie; et après avoir rendu grâces au Fils de Dieu de ce qu'il a daigné mourir pour nous sur la Croix, remercions-le aussi d'avoir accepté pour nous l'humiliation du sépulcre.


Descendons maintenant dans Jérusalem, et visitons humblement la Mère des douleurs. La nuit aussi a passé sur son cœur affligé ; et les scènes lamentables de la journée n'ont cessé d'assiéger sa mémoire. Le fils de sa tendresse a été foulé sous les pieds des hommes, elle a vu couler son sang par torrents; et maintenant il est dans le tombeau, comme le dernier des mortels ! Que de larmes a versées déjà la fille de David durant ces longues heures ; et son fils ne lui est pas rendu encore ! Près d'elle, Madeleine, toute brisée des secousses qu'elle a ressenties dans les rues de Jérusalem et sur le Calvaire, éclate en sanglots, muette de douleur. Elle aspire au lever du jour suivant pour retourner au tombeau, et revoir les restes de son cher maître. Les autres femmes, moins aimées que Madeleine, mais cependant chères à Jésus, elles qui ont bravé les Juifs et les soldats pour l'assister jusqu'à la fin, entourent avec discrétion l'inconsolable mère, et songent aussi à soulager leur propre douleur, en allant avec Madeleine lorsque le Sabbat sera écoulé, de poser dans le sépulcre le tribut de leur amour et de leurs parfums.


Jean, le fils d'adoption, le bien-aimé de Jésus, pleure sur le Fils et sur la mère. D'autres apôtres, des disciples, Joseph d'Arimathie, Nicodème, visitent tour à tour cette maison de deuil. Pierre, dans l'humilité de son repentir, n'a pas craint de reparaître aux regards de la Mère de miséricorde. On s'entretient à voix basse du supplice de Jésus, de l'ingratitude de Jérusalem. La sainte Eglise, dans l'Office de cette nuit, nous suggère quelques traits des entretiens de ces hommes qu'une si terrible catastrophe a ébranlés jusqu'au fond de l'âme. « C'est donc ainsi, disent-ils, que meurt le juste, et personne ne s'en émeut! Il a disparu devant l'iniquité; semblable à l'agneau, il n'a pas ouvert la bouche; il a été enlevé au milieu des angoisses ; mais son souvenir est un souvenir de paix


Ainsi parlent ces hommes fidèles, pendant que les femmes, en proie à leur douleur, songent aux soins des funérailles. La sainteté, la bonté, la puissance, les douleurs et la mort de Jésus, tout est présent à leur pensée ; mais sa résurrection qu'il a annoncée et qui ne doit pas tarder, ne leur revient pas en souvenir. Marie seule vit dans cette attente certaine. L'Esprit-Saint dit de la femme forte : « Durant la nuit, sa lampe ne s'éteint jamais» ; cette parole s'accomplit aujourd'hui en la Mère de Jésus. Son cœur ne succombe pas, parce qu'elle sait que bientôt la tombe doit rendre son fils à la vie. La foi de la résurrection du Sauveur, cette foi sans laquelle, comme dit l'Apôtre, notre religion serait vaine, est, pour ainsi dire, concentrée dans l’âme de Marie. La Mère de la Sagesse conserve ce dépôt précieux; et de même qu'elle a tenu dans ses chastes flancs celui que le ciel et la terre ne peuvent contenir, ainsi aujourd'hui, par sa croyance ferme et constante aux paroles de son fils, elle résume en elle-même toute l'Eglise. Sublime journée du Samedi qui, au milieu de toutes ses tristesses, vient encore ajouter aux grandeurs de Marie ! La sainte Eglise en garde à jamais le souvenir; et c'est pour cela que, désirant consacrer à sa grande Reine un jour spécial chaque semaine, elle lui a dédie pour toujours le Samedi.
Mais l'heure est venue de se rendre à la maison de Dieu. Les cloches ne retentiront pas encore ; mais les mystères de la sainte Liturgie qui doivent remplir cette matinée n'en appellent pas moins les fidèles aux plus touchantes émotions. Conservons le souvenir de celles que nous venons de ressentir au sépulcre et aux pieds de la Mère des douleurs, et disposons nos âmes aux saintes jouissances que la foi nous prépare.

 

 

 

 

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Illustration 

 Hans Holbein dit le jeune,
Le Christ mort, 1521,
Bâle, Kunstmuseum, Öffentliche Kunstsammlung.

 

 

 

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08:24 Publié dans Fête, Méditation | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : mode, histoire, municipales, aujourd-hui-autrement, sida, cinéma | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mercredi, 12 mars 2008

Les grandes orgues de Saint Bruno de Voiron, Isère, France

 

 

 

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Historique de l'orgue




 

 

 La vie de cet instrument a été passablement mouvementée; en voici les points les plus marquants.

1838 L'orgue est réalisé pour l'église de Saint-François de Salle à Lyon par les frères Callinet. Il comporte 41 jeux sur 4 claviers et pédalier de la façon suivante :
Grand Orgue 15 jeux, 54 notes
Positif de dos 9 jeux, 54 notes
Récit 6 jeux, 42 notes
Echo 4 jeux, 30 ou 37 notes
Pédale 7 jeux, 27 notes
1850 Démontage et remontage par Zeiger et Hippolyte César Beaucourt. Quelques jeux sont changés.
1864 Transformation commandée par François Charles Widor - père de Charles Marie - à Aristide Cavaillé-Coll. Il remplace les 2 petits claviers par un récit expressif de 10 jeux, 54 notes, rajoute quelques jeux (4 jeux neufs) et, naturellement, refait une nouvelle console et une nouvelle soufflerie.
1879 A la demande des Widor père et fils, la paroisse de St François commande un nouvel instrument à Cavaillé-Coll et met en vente l'orgue Callinet "modifié".
1881 Après de nombreuses tractations, l'instrument est vendu à Voiron. Le transfert est effectué par Hugues Beaucourt et de nouvelles transformations ont lieu. Modification de la composition et surtout construction d'un nouveau buffet de style néo-gothique en harmonie avec le style de l'église St Bruno. En particulier les deux tourelles latérales et leurs grands tuyaux (muets).
1883 L'orgue est enfin inauguré en mai 1883.
1957 Jusqu'à cette date, quelques transformations mineures ont lieu (nouveau pédalier, nouvelle soufflerie), en 1920, 1939, 1951 ... En 1957, nouvelle remise en état et nouvelle modification des jeux existants par les Etablissements Ruche. Il persiste alors 29 jeux Callinet et 4 jeux Cavaillé-Coll. La mécanique n'est quasi pas modifiée.
1973 Classé monument historique, il est dans un état pitoyable et sa restauration devient indispensable.
1984 A l'initiative de l'Association des Amis de l'Orgue de St Bruno créée dans le but d'aider à sa restauration, elle est enfin décidée en 1992 ... La complexité des dossiers administratifs, l'importance du financement et des travaux feront qu'ils ne débuteront que fin 1999. Ils seront confiés au Maître Facteur d'Orgue Daniel Kern à Strasbourg.
2002

Retour de l'orgue à la tribune de l'église St Bruno.

 

 

Le projet de restauration

 

 

C'est en 1993 que, sous la présidence de Madame Clément, l'Association des Amis de l'Orgue de Saint-Bruno de Voiron intervint auprès de Philippe VIAL, maire de l'époque, pour que la restauration de cet instrument soit envisagée.

En effet, l'orgue de Saint-Bruno, installé dans la nef en 1883, fait partie intégrante du patrimoine de la ville mais son état ne permettait plus d'apprécier le son merveilleux des jeux de Callinet et de Cavaillé-Coll.

La décision de la restauration fut donc prise, mais son coût excédait les possibilités financières de la Ville de Voiron.

Aussi, l'Etat, par le biais de la Direction Régionale des Affaires Culturelles, le Conseil Général de l'Isère et le Conseil Régional Rhône-Alpes accordèrent leur participation à cette oeuvre de sauvegarde.

Le coût définitif, après un avenant en cours de travaux, s'élève à 522.900€, dont 107.640€ à la charge de la Ville de Voiron.

Pour sa part, l'Association des Amis de l'Orgue ne voulut pas être absente et consacra une somme conséquente à l'installation d'un système vidéo qui permet à l'organiste de visualiser confortablement le déroulement de la liturgie. Par ailleurs, elle finança l'installation d'un éclairage intérieur de l'orgue et d'un éclairage extérieur le mettant en valeur.

Enfin, un concours organisé à l'initiative du Diocèse permit de nommer une titulaire en la personne de Mademoiselle Christine Bin et deux titulaires adjoints, Messieurs Patrice Charnay et Guillaume Dorel.

 

 

Source 

 Les grandes orgues de Saint Bruno de Voiron, Isère, France

 

09:17 Publié dans Histoire, Musique dans le Voironnais, Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, concert, culture, histoire, eglise | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

vendredi, 07 mars 2008

Voiron, un peu d'histoire...

 

 

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La ville de Voiron est située dans la neuvième circonscription du département de l'Isère et la région Rhônes-Alpes. 

 

Elle est appelée capitale de la Chartreuse, mais n'est en réalité qu'une des trois ville porte de la Chartreuse avec Chambéry et Grenoble.


 
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Notre-Dame-de-Vouise

 
 
 
 
 

Dans l'antiquité, Salmorungum, petit bourg commerçant dont nous connaissons l'éxistance par les vestiges de riches villas romaines découvertes lors de la réalisation de la Rocade Ouest de la ville actuelle. De nos jours, le faubourg Sermorens au nord de la ville, nous rappelle le passé romain de la cité. Au Moyen-âge, Voiron n'est encore qu'un village, mais déjà un emplacement stratégique qui attire de nombreux commerçants. En effet, sa position frontalière avec le dauphiné voisin (elle est alors savoyarde) lui procure un avantage commercial indéniable sur ses rivales (Vienne et Grenoble). De cette époque lointaine ne reste que de faibles traces au coeur de la ville, un château médiéval dominait la cité, la tour Barral en était un des éléments. La situation géographique, prendra fin dès l'annexion de Voiron pas le royaume de France. Au XIXème siècle, on susurre le nom du bourg de Voiron dans de nombreuses royauté d'Europe, Voiron rayonne ! Les soieries voironnaises sont connues dans toutes l'Europe pour leur finesse, Voiron profite alors d'une main d'oeuvre féminine bon marché, logée à l'usine et souvent mal payée. L'essor des manufactures de papiers sur les rives de la Morge, la rivière traversant la petite ville, attirera de nombreux travailleur vers la ville et de là débutera un nouvel âge d'or. Le XIXème siècle c'est aussi le rayonnement religieux de la ville qui grâce à l'audace d'un premier magistrat ambitieux fait ériger une Cathédrale Gothique en 1876, l'Eglise Saint Bruno.

On citera aussi l'élévation d'une statue représentant la vierge Marie et l'enfant Jésus, un hommage à Notre Dame de France du Puy en Velay. Puis vient le XXème siècle, ses révolutions industrielles, le déclin de la soie, du papier et l'avènement de l'entreprise phare de la commune : les Skis Rossignol fondés en 1907 par Abel Rossignol. Y travailleront des familles entières de voironnais, des immigrés italiens arrivés en masse au début du siècle... Voiron se développe, s'agrandie. La population dépasse les 15.000 habitants ! De grandes industries de renommée mondiale se développe, Voiron verra ainsi naître l'entreprise Radiall spécialisée en mécanique de précision, ou encore les jouets Gueydon, d'où est issu l'enseigne mondialement connu : King Jouet. Aujourd'hui pôle économique et administratif majeur du département de l'Isère, riche de plus de 10.000 emplois, de nouvelles industries, d'une reconversion difficile après le départ de Rossignol et Johnson & Johnson, Voiron tient à garder sa totale indépendance vis à vis de son énorme voisine : l'agglomération grenobloise et ses 500.000 habitants. Le Pays Voironnais, les habitants de la commune,la municipalité, le territoire tout entier lutte et travaille d'arrache pieds pour embellir et attirer de nouveaux emplois visant à limiter le phénomène de cité dortoir impactant déjà la banlieue voironnaise.

 

 

 

La tour Barral

 La tour Baral

 

 

 

 

 

Lieux et Monuments

 

 

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  L'église Saint-Bruno

une reproduction de cathédrale du XIXème siècle

classé Monument Historique

 

 

 

  • L'église Saint-Pierre du Ixè siècle
  • Domaine de La Brunerie (Guillaume Dode de la Brunerie), CREPS Rhône-Alpes
  • Le Jardin de Ville (héritage d'un domaine de la famille Becquart-Castelbon)
  • La tour Barral (reste du château de Voiron)
  • La statue et la table d'orientation Notre-Dame de Vouise




 Gastronomie

 

 

 

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Les Caves de la Chartreuse

L'Antésite (Coublevie)

Chocolaterie Bonnat

 

La ville de Voiron

 

 

 

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est jumelée avec  les villes de

 

 

 


Italie Bassano del Grappa en Italie

 

Allemagne Kreis Herford en Allemagne

 


Croatie Šibenik en Croatie

 
 

Personnages célèbres

 

 

 

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Guillaume Dode de La Brunerie

(1775-1851)

maréchal de France

 

 

François Rambeaud, (1745-1799) général de brigade de Napoléon 1e, né à Voiron.

 

Lucien Mainssieux, (1885-1958), peintre dauphinois, est né et mort à Voiron.

 

Lucien Hussel (1889-1967), homme politique et résistant

 

 

 

 

 Source

 

   

10:23 Publié dans Patrimoine | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : histoire, société, culture, gastronomie, tourisme, actualité, voyage | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |