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lundi, 16 novembre 2009

VIVE LE MARIAGE

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ABOLITION DU PACS

 

MAINTENANT

 

 

 

Le PaCS a dix ans.

Parce que :

- le PaCS institutionnalise la précarité. Comme disait Napoléon à qui nous devons le Code civil : « Les concubins ignorent la loi, la loi les ignore ». Pour bénéficier des avantages du mariage, les concubins n’ont qu’à se marier. Mais le mariage a un prix : l’engagement public. L’Etat, pour une société plus stable, moins précaire, moins cruelle avec les plus faibles, a le devoir d’encourager cet engagement, donc le mariage. Favoriser le Bien commun, c’est « ne pas remplacer la famille par d’autres institutions ou d’autres formes d’unions ». Les hommes et les femmes de bonne volonté doivent agir ensemble en « [célébrant] la beauté et la fécondité de la famille, fondée sur le mariage, sa vocation exaltante et son rôle indispensable au sein de la société » (Benoît XVI). Au lieu de cela, l’Assemblée nationale et le Sénat, très majoritairement composés d’hommes, ont mis en place le PaCS il y a maintenant dix ans. Véritable régression, il permet, entre autres, la répudiation de la femme par l’homme. Source de précarité pour l’enfant, le PaCS est une régression pour notre société.

- le PaCS menace le mariage. Il a été signé 145 000 PaCS en 2008 contre 101 000 en 2007 et 22 000 en 2000. En 2008, justement, 273 500 mariages ont été célébrés en France. Un chiffre en baisse depuis 2000 (305 000 mariages). On le constate, le PaCS entre homme et femme est en train de concurrencer le mariage. De le rattraper et même de le dépasser : alors qu’en 2007 on comptait 443 Pacs pour 732 mariages dans le XIe arrdt de Paris, en octobre 2009, le nombre de Pacs a depassé pour le moment le nombre de mariages: 583 Pactes pour 521 mariages. Or :

* le mariage assure la pérennité de notre société et l’union de l’homme et de la femme ne relève pas de la seule sphère privée. Elle a précisément une fonction publique parce que c’est en son sein que naissent les enfants. Or, selon le mot d’Ernest Renan, « aucune civilisation n’a été bâtie par des personnes seules, nées de parents inconnus et mortes célibataires sans enfants ».

* le mariage assure la protection des membres de la famille, notamment de la femme et des enfants.

- le PaCS a été mis en place pour satisfaire les revendications des lobbies homosexuels qui prétendent parler au nom de tous les homosexuels. Il est une première étape vers le « mariage » homosexuel. Le père du PaCS, le député Patrick Bloche ou la présidente de la Commission des lois à l’Assemblée nationale de l’époque, Catherine Tasca, ne l’ont jamais caché.

On n’a même jamais autant parlé de « mariage » homosexuel que depuis le vote des lois sur le PaCS du 15 juin 1999 et du 23 juin 2006. C’est d’ailleurs à l’occasion des 10 ans du PaCS que le maire de Montpellier, Hélène Mandroux-Colas, a lancé un « appel des maires en faveur de l’ouverture du mariage aux couples homosexuels »

La droite en 1999 ne s’y était pas trompée. Elle avait massivement voté contre le projet de loi socialiste instituant le PaCS. Elle était à l’époque dans l’opposition.

Elle est aujourd’hui au pouvoir.

Entre temps, le PaCS a prouvé qu’il était synonyme de plus de précarité.

Nous demandons l’abolition d’une atteinte insupportable au droit à la pérennité et à la stabilité des familles.

Nous demandons l’abolition d’une atteinte en puissance au droit de l’Enfant à avoir un Papa et une Maman.

Nous demandons l’abolition du PaCS.

Maintenant.

 

 

 

 

 

 

 

18:38 Publié dans Famille, Polémique, Réflexion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pacs, actualité, société, famille, député | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |