Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 22 juillet 2009

Idéologie de la capote : "De la No Way" en rajoute

 

delanoe_bertrand.jpg

On ne le répètera jamais assez : le préservatif protège mal.

 

 

 

La ville de Paris ne tarit pas d'éloge sur sa nouvelle campagne contre le SIDA qu'elle qualifie de "parti pris audacieux". Un campagne qui fait "la part belle au préservatif sans fausse pudeur, sans complexe et avec humour".

Les deux affiches représentant respectivement un homme et une femme tenant en laisse un énorme préservatif rose agrémentées de la mention "le meilleur ami de l'homme" ou "le meilleur ami de la femme" sont placardées sur 880 panneaux municipaux.

Une obscénité qu'il va vous falloir supporter, vos enfants et vous, tout l'été si vous n'avez pas la chance de partir en vacances.

Une obscénité qu'il nous faut dénoncer haut et fort.

 

 

 

ACTION!

 

 

Nous vous invitons à contacter Sida Infos Service par téléphone : 0 800 840 800 pour leur dire avec fermeté et courtoisie votre mécontentement. Afin que vos protestations soient prises en compte, envoyez un petit message au

 

service communication (cbelloc@-sidainfo.org),

 

au service diffusion

 

(diffusion@sida-info-service.org)

et

au maire de Paris.

 

 

On ne le répètera jamais assez 

 


- le préservatif protège mal.

 

Seule la chasteté (continence dans le célibat, fidélité et ouverture à la vie dans le mariage) protège à 100%.

 

- le comportement homosexuel contribue dramatiquement à la propagation du virus du SIDA et la ville de Paris n'a de cesse d'en encourager et d'en banaliser la pratique.

 

 

 

 

 

 

Source

 

E-DEO

 

 

 

11:52 Publié dans Polémique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : société, actualité, préservatif, france, sida | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mercredi, 25 mars 2009

Sida/propos du pape: les évêques du Cameroun dénoncent une "désinformation"

 

6a00d83451c73369e200e54f5dba418833-800wi.gif

 

 

Les évêques du Cameroun estiment qu'une "certaine presse" a fait de la "désinformation", créant la polémique autour des des propos sur les préservatifs et la lutte contre le sida du pape Benoît XVI lors de son voyage en Afrique, dans une déclaration obtenue mercredi par l'AFP.

"Une certaine presse s'est fait l'écho d'un malaise qu'auraient suscité les propos du Saint-Père sur l'usage des préservatifs et sur le VIH-sida", affirme la Conférence épiscopale nationale du Cameroun, dans une réaction à "une telle désinformation".

Les évêques "s'étonnent de ce que les journalistes ne retiennent de cette déclaration du pape (...) que l'opposition aux préservatifs, occultant toute l'action de l'Eglise sur la lutte contre le sida et la prise en charge des malades".

Ils accusent "les médias occidentaux notamment (d'avoir) oublié les autres aspects pourtant essentiels du message africain du Saint-Père sur la pauvreté, la réconciliation, la justice et la paix".

"Ceci est très grave, lorsqu'on sait le nombre de morts que causent d'autres maladies en Afrique et sur lesquelles il n'y a aucune publicité véritable, lorsqu'on sait le nombre de morts que causent en Afrique les luttes fratricides dues aux injustices et à la pauvreté", écrivent-ils.

Ils assurent ne pas nier "pour autant pas la réalité du sida, ni son effet dévastateur dans les familles au Cameroun".

"L'engagement (...) auprès des personnes vivant avec le virus du sida, l'accompagnement des personnes infectées et affectées sont des priorités" pour l'Eglise, poursuit le texte.

L'Eglise "ne méprise pas les malades du sida et n'encourage nullement la propagation de la maladie" contrairement à ce qu'avancent "certains médias", estiment les évêques. Elle a cependant "l'impérieux devoir de rappeler aux chrétiens que toute pratique sexuelle en dehors du mariage et non rangée est dangereuse et propice à la diffusion du sida", ajoute cette déclaration."

En route pour sa première visite en Afrique (17-20 mars), Benoît XVI avait affirmé que l'on ne pouvait "pas résoudre le problème du sida (...) avec la distribution de préservatifs" et que, "au contraire", leur "utilisation (aggravait) le problème".

 

 

LA CROIX.COM

 

 

 

 

21:21 Publié dans Benoît XVI | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : préservatif, sida, actualité, presse | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

samedi, 22 mars 2008

Samedi Saint

 
 
 
 
 
1373333153.jpg
 
 
 
 
 
1615034752.jpg
 
 
 
 
 
 
"On me compte parmi les morts qui descendent à la fosse.
Je suis un homme sans force, couché parmi les morts.
On m'a mis dans la fosse profonde,
dans les ténèbres, dans l'abime."
 
 
( Psaume 87 ; Office des Ténèbres du Samedi Saint )
 
 
 
 
 
 
 
Commentaire de Dom Gueranger sur l'office du jour 
 
 

La nuit a passé sur le sépulcre où repose le corps de l'Homme-Dieu. Mais si la mort triomphe au fond de cette grotte silencieuse, si elle tient dans ses liens celui qui donne la vie à tous les êtres, son triomphe sera court. Les soldats ont beau veiller à l'entrée du tombeau, ils ne retiendront pas le divin captif, quand il prendra son essor. Les saints Anges adorent, dans un respect profond, le corps inanimé de celui dont le sang va « pacifier le ciel et la terre ». Ce corps séparé de l'âme pour un court intervalle est demeuré uni au Verbe divin ; l'âme qui a cessé un moment de l'animer, n'a point non plus perdu son union avec la personne du Fils de Dieu. La divinité reste unie même au sang épanché sur le Calvaire, et qui doit rentrer dans les veines de l'Homme-Dieu, au moment de sa prochaine résurrection.


Nous aussi, approchons de ce tombeau, et vénérons à notre tour la froide dépouille du Fils de Dieu. Nous comprenons maintenant les effets du péché. « C'est par le péché que la mort est entrée dans le monde et qu'elle a passé dans tous les hommes. » Jésus, « qui n'a point connu le péché», a cependant permis à la mort d'étendre jusque sur lui son empire, afin d'en diminuer pour nous les horreurs et de nous rendre, en ressuscitant, cette immortalité que le péché nous avait ravie. Adorons dans toute notre reconnaissance ce dernier anéantissement du Fils de Dieu. Il avait daigné, dans son incarnation, prendre « la forme d'esclave » ; en ce moment, il est descendu plus bas encore. Le voilà sans vie et glacé dans un tombeau ! Si ce spectacle nous révèle l'affreux pouvoir de la mort, il nous montre bien plus encore l'immense et incompréhensible amour de Dieu pour l'homme. Cet amour n'a reculé devant aucun excès; et nous pouvons dire que si le Fils de Dieu s'est abaissé outre mesure, nous avons été d'autant plus glorifiés par ses abaissements. Qu'elle nous soit donc chère cette tombe sacrée qui doit nous enfanter à la vie; et après avoir rendu grâces au Fils de Dieu de ce qu'il a daigné mourir pour nous sur la Croix, remercions-le aussi d'avoir accepté pour nous l'humiliation du sépulcre.


Descendons maintenant dans Jérusalem, et visitons humblement la Mère des douleurs. La nuit aussi a passé sur son cœur affligé ; et les scènes lamentables de la journée n'ont cessé d'assiéger sa mémoire. Le fils de sa tendresse a été foulé sous les pieds des hommes, elle a vu couler son sang par torrents; et maintenant il est dans le tombeau, comme le dernier des mortels ! Que de larmes a versées déjà la fille de David durant ces longues heures ; et son fils ne lui est pas rendu encore ! Près d'elle, Madeleine, toute brisée des secousses qu'elle a ressenties dans les rues de Jérusalem et sur le Calvaire, éclate en sanglots, muette de douleur. Elle aspire au lever du jour suivant pour retourner au tombeau, et revoir les restes de son cher maître. Les autres femmes, moins aimées que Madeleine, mais cependant chères à Jésus, elles qui ont bravé les Juifs et les soldats pour l'assister jusqu'à la fin, entourent avec discrétion l'inconsolable mère, et songent aussi à soulager leur propre douleur, en allant avec Madeleine lorsque le Sabbat sera écoulé, de poser dans le sépulcre le tribut de leur amour et de leurs parfums.


Jean, le fils d'adoption, le bien-aimé de Jésus, pleure sur le Fils et sur la mère. D'autres apôtres, des disciples, Joseph d'Arimathie, Nicodème, visitent tour à tour cette maison de deuil. Pierre, dans l'humilité de son repentir, n'a pas craint de reparaître aux regards de la Mère de miséricorde. On s'entretient à voix basse du supplice de Jésus, de l'ingratitude de Jérusalem. La sainte Eglise, dans l'Office de cette nuit, nous suggère quelques traits des entretiens de ces hommes qu'une si terrible catastrophe a ébranlés jusqu'au fond de l'âme. « C'est donc ainsi, disent-ils, que meurt le juste, et personne ne s'en émeut! Il a disparu devant l'iniquité; semblable à l'agneau, il n'a pas ouvert la bouche; il a été enlevé au milieu des angoisses ; mais son souvenir est un souvenir de paix


Ainsi parlent ces hommes fidèles, pendant que les femmes, en proie à leur douleur, songent aux soins des funérailles. La sainteté, la bonté, la puissance, les douleurs et la mort de Jésus, tout est présent à leur pensée ; mais sa résurrection qu'il a annoncée et qui ne doit pas tarder, ne leur revient pas en souvenir. Marie seule vit dans cette attente certaine. L'Esprit-Saint dit de la femme forte : « Durant la nuit, sa lampe ne s'éteint jamais» ; cette parole s'accomplit aujourd'hui en la Mère de Jésus. Son cœur ne succombe pas, parce qu'elle sait que bientôt la tombe doit rendre son fils à la vie. La foi de la résurrection du Sauveur, cette foi sans laquelle, comme dit l'Apôtre, notre religion serait vaine, est, pour ainsi dire, concentrée dans l’âme de Marie. La Mère de la Sagesse conserve ce dépôt précieux; et de même qu'elle a tenu dans ses chastes flancs celui que le ciel et la terre ne peuvent contenir, ainsi aujourd'hui, par sa croyance ferme et constante aux paroles de son fils, elle résume en elle-même toute l'Eglise. Sublime journée du Samedi qui, au milieu de toutes ses tristesses, vient encore ajouter aux grandeurs de Marie ! La sainte Eglise en garde à jamais le souvenir; et c'est pour cela que, désirant consacrer à sa grande Reine un jour spécial chaque semaine, elle lui a dédie pour toujours le Samedi.
Mais l'heure est venue de se rendre à la maison de Dieu. Les cloches ne retentiront pas encore ; mais les mystères de la sainte Liturgie qui doivent remplir cette matinée n'en appellent pas moins les fidèles aux plus touchantes émotions. Conservons le souvenir de celles que nous venons de ressentir au sépulcre et aux pieds de la Mère des douleurs, et disposons nos âmes aux saintes jouissances que la foi nous prépare.

 

 

 

 

1802489797.png

 

 

 

 

Illustration 

 Hans Holbein dit le jeune,
Le Christ mort, 1521,
Bâle, Kunstmuseum, Öffentliche Kunstsammlung.

 

 

 

1802489797.png
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Veuillez "cliquer" sur le lien 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

08:24 Publié dans Fête, Méditation | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : mode, histoire, municipales, aujourd-hui-autrement, sida, cinéma | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |