samedi, 30 janvier 2010
Vatican II: un débat à ouvrir
Mgr Brunero Gherardini, prêtre du diocèse de Prato (Italie), est au service du Saint-Siège depuis 1965, notamment comme professeur d’ecclésiologie et d’œcuménisme à l’Université pontificale du Latran jusqu’en 1995. Il est l’auteur d’une centaine d’ouvrages et de plusieurs centaines d’articles de revue, sur trois cercles de recherche concentriques : la Réforme du XVIe siècle, l’ecclésiologie, la mariologie. Mgr Gherardini est actuellement chanoine de l’Archi-basilique Vaticane et directeur de la revue internationale de théologie « Divinitas »
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mercredi, 27 janvier 2010
Sur les pas de Saint François de Sales et Sainte Jeanne de Chantal
21:16 Publié dans Cinéma | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, arts, religion, lyon, film | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |
dimanche, 24 janvier 2010
Thiberville:ce que nous avons perdu !
Un petit aperçu de ce que ne veut pas perdre Thiberville,
nous donne une pieuse idée
de ce que nous avons, hélas, perdu,
et que nous aimerions bien retrouver en Voironnais !
D'autres photographies ICI
21:34 Publié dans Vie religieuse | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : isère, dauphiné, voiron, religion, eglise catholique | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |
samedi, 23 janvier 2010
Benoît XVI fait la promotion du web
MESSAGE DU PAPE BENOÎT XVI
POUR LA 44ème JOURNÉE MONDIALE
DES COMMUNICATIONS SOCIALES
« Le prêtre et la pastorale dans le monde numérique:
les nouveaux médias au service de la Parole »
[Dimanche 16 mai 2010]
Chers Frères et Sœurs,
Le thème de la prochaine Journée Mondiale des Communications Sociales - « Le prêtre et la pastorale dans le monde numérique: les nouveaux médias au service de la Parole » -, s'insère heureusement dans le parcours de l'année sacerdotale, et met au premier plan la réflexion sur un domaine pastoral vaste et délicat comme celui de la communication et du monde numérique, dans lequel sont offertes au prêtre de nouvelles possibilités d'exercer son ministère au service de la parole et de la Parole. Les moyens modernes de communication font partie depuis fort longtemps des moyens ordinaires utilisés par les communautés ecclésiales pour s'exprimer dans les limites de leur propre territoire et pour instaurer, très souvent, des formes d'échange à plus large échelle, mais leur récente expansion et leur considérable influence en rende toujours plus importante et utile l'usage dans le ministère sacerdotal.
Le devoir primordial du prêtre est d'annoncer le Christ, la Parole de Dieu faite chair, et de communiquer la grâce divine multiforme porteuse du salut à travers les sacrements. Convoquée par la Parole, l'Eglise se reconnaît comme signe et instrument de la communion que Dieu réalise avec l'homme et que chaque prêtre est appelé à édifier en Lui et avec Lui. C'est la très haute dignité et beauté de la mission sacerdotale dans laquelle se réalise de manière privilégiée l'affirmation de l'Apôtre Paul : « En effet, l'Écriture dit : ... aucun de ceux qui croient en lui n'aura à le regretter ... En effet, tous ceux qui invoqueront le nom du Seigneur seront sauvés. Or, comment invoquer le Seigneur sans avoir d'abord cru en lui ? Comment croire en lui sans avoir entendu sa parole ? Comment entendre sa parole ne si personne ne l'a proclamée ? Comment proclamer sans être envoyé ? » (Rm 10, 11,13-15).
Pour donner des réponses adaptées à ces questions au sein des grands changements culturels dont le monde des jeunes est particulièrement averti, les voies de communication ouvertes par les conquêtes technologiques sont désormais un moyen indispensable. En effet, le monde numérique, en mettant à disposition des moyens qui offrent une capacité d'expression presque illimitée, ouvre de considérables perspectives d'actualisations à l'exhortation Paulinienne : « Malheur à moi si je n'annonçais pas l'Évangile ! » (1 Co 9, 16). Avec leur diffusion, par conséquent, la responsabilité de l'annonce non seulement s'accroît, mais se fait plus pressante et réclame un engagement plus motivé et efficace. À cet égard, le prêtre se trouve comme au début d'une « histoire nouvelle », parce que plus les technologies modernes créeront des relations étroites et plus le monde numérique élargira ses frontières, plus il sera appelé à s'en préoccuper pastoralement, accroissant son engagement, pour mettre les media au service de la Parole.
Toutefois, la multimédialité généralisée et la « palette variée de fonctions » de celle-ci peuvent comporter le risque d'une utilisation dictée principalement par la pure exigence de se rendre présent, et de considérer de façon erronée le web seulement comme un espace à occuper. Par contre il est demandé aux prêtres la capacité d'être présents dans le monde numérique dans la fidélité constante au message évangélique, pour exercer leur rôle d'animateurs de communautés s'exprimant désormais, toujours plus souvent, au milieu des « voix » provenant du monde numérique, et d'annoncer l'évangile en se servant, à coté des moyens traditionnels, de l'apport de la nouvelle génération des moyens audiovisuels (photos, vidéo, animations, blog, sites web) qui représentent des occasions inédites de dialogue et même des outils indispensables pour l'évangélisation et la catéchèse.
Suite
17:25 Publié dans Benoît XVI, Réflexion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : médias, internet, web, benoît xvi, vatican | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |
mardi, 19 janvier 2010
Le film "Agora": catophobie et mensonge historique
Un film qui va jusqu'à inventer que ce sont des moines catholiques qui ont brulé la bibliothèque d'Alexandrie... si, ils ont osé... et sont allé jusque là :
"A l'arrivée, devant la lâcheté du préfet, laquelle cède face à la foule chrétienne, et bien que ce dernier fasse protéger la fuite des païens, les chrétiens envahissent le temple et la bibliothèque. Ils déboulonnent et détruisent les statues des dieux et notamment la statue de Sérapis au sein de son temple. Ils procèdent à des autodafés de parchemins et brûlent des œuvres majeures de l'antiquité aux cris de « Mort aux païens ». Les moines fanatiques, en tenue noire et l'épée à la main, saccagent l'ensemble du bâtiment, qu'ils incendient par la suite.
Une fois les païens vaincus, les moines chrétiens s'en prennent aux Juifs, lapidés dans un théâtre communautaire. Ces derniers se défendent en piégeant les moines persécuteurs dans leur propre église et en les lapidant à leur tour. La conséquence est que les chrétiens organisent un véritable pogrom, massacrant femmes et enfants, alors que les juifs n'avaient tué que des hommes coupables par ailleurs de divers meurtres. Enfin, les juifs survivants sont expulsés de la ville. L'image est ainsi saisissante (...)
Le christianisme est ainsi présenté sciemment, tout en respectant les faits historiques, comme une religion d'intolérance et de fanatisme, destructrice des arts et des sciences, misogyne, accomplissant dans les faits le contraire des dogmes officiels".
etc, etc...
A noter :
"Nicole Kidman fut approchée pour le rôle d'Hypatie mais elle le refusa par peur de la controverse religieuse que pourrait susciter le film".
Nos évêques vont-ils réagir comme leurs confrères d'Italie où le film est interdit? Il suffit peut-être de les informer de la réalité de ce navet à l'affiche depuis le 6 janvier...
(merci à NM)
Source
08:01 Publié dans Catophobie, Polémique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cinéma, agora, actualité, catophobie, histoire | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |