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vendredi, 09 avril 2010

HELLFEST : un festival satanique!

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Russie :

deux satanistes noient, découpent et servent à dîner une jeune fille

 

 


Le procès de deux Russes accusés d'avoir hâché une jeune fille de 16 ans et de l'avoir mangé avec des pommes de terre a été reporté après qu'un juré ait fait un malaise en voyant des images de la victime après sa mort.

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Karina Barduchian, la victime

Maxim Golovatskikh et son ami fleuriste Yury Mozhnov, âgés de 20 ans, sont accusés d'avoir noyé Karina Barduchian, dans une baignoire puis d'avoir découpé son corps en morceaux avant de les servir à manger avec des pommes de terre a leur colocataire, Ekaterina Zinovyeva. Celle-ci a raconté à la Cour de Saint-Petersburg qu'ils avaient fait la fête avec leurs amis gothiques la nuit du meurtre, un soir de janvier 2009.

« Karina était amoureuse de Maxim et était restée pour la nuit », a-t-elle expliqué. « Ils sont allés dans la salle de bain ensemble tandis que j'allais me coucher. Je me suis endormie et j'ai entendu dans mon sommeil des éclaboussures d'eau et des bruits mais cela ne m'a pas inquiété. Un peu après, je me suis réveillée et j'ai cherché à savoir ce qu'il s'était passé. Je suis entrée dans la salle de bain mais Yuri m'a barré la route et m'a dit d'aller me recoucher. Ils avaient déjà qu'ils pourraient tuer Karina mais c'était sur le ton de la blague, et bien sûr je n'imaginais pas un instant qu'ils étaient sérieux ». Le jour qui a suivi, à son retour du travail, Maxim et Yuri ont offert à Ekaterina de la viande et des pommes de terre. Elle a dîner sans savoir d'où venait la viande...

Ce qui restait du corps de Karina aurait ensuite été caché dans une benne à ordures. Les deux hommes ont avoué leur crime et expliqué, pour leur défense, qu'ils étaient affamés et assoiffés le soir du drame. La victime avait continué à fréquenter Maxim, contre l'avis de sa maman, Nadya, 45 ans. Effondrée, celle ci a déclaré : « Nos vies sont ruinées par le décès de Karina et par l'horrible façon dont elle a été tuée ».

Voici à quoi ressemblent les meurtriers dont l'un, Maxim, est chanteur dans un groupe similaire à certains de ceux qui sont invités à se produire chaque année au Hellfest à Clisson :

Yury Mozhnov

Yury Mozhnov...

Maxim Golovatskikh, le meurtrier...

... et Maxim Golovatskikh

 

 

Qu'on n'aille pas ensuite nous dire que les appels aux profanations et aux meurtres des chrétiens proférés par des groupes de metal invités au Hellfest sont à prendre au second degré !

Arthur Leroy

 

 


lundi, 22 juin 2009

Hell'fest : n'en restons pas là !

 

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Donner une suite à cette première mobilisation d'envergure concernant le Hell'fest, symbole parmi d'autres d'une certaine cathophobie, est une nécessité.

Aussi proposons-nous aux mouvements, associations, personnalités politiques et/ou morales ...etc... qui veulent s'investir dans la durée de se constituer en collectif dont le nom pourrait être ''Collectif Citoyen pour le Respect" et dont l'objectif premier sera de faire en sorte que les collectivités territoriales de quelque nature qu'elles soient ne financent plus aucune manifestation à caractère haineux et/ou violent contre quelque communauté de croyance que ce soit.

En unissant les forces, dans la concertation et l'échange, dans le respect aussi des diversités, nul doute que les initiatives prises cette année par les uns et par les autres ne peuvent qu'être plus fécondes et plus efficaces.

Dans un 1er temps, et pour être concret, ayons en ligne de mire le Hell'fest et ses sponsors.

Si vous êtes OK pour concrétiser cette proposition, envoyez un message à citeetculture@gmail.com.en en précisant si vous souhaitez :

1. intégrer le collectif en tant que tel

2. Le soutenir en tant que personnalité

N'oubliez pas de donner toutes les coordonnées utiles.



"CITE et CULTURE"
La bréffièr
49300 CHOLET

 

 

 

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http://citeetculture.free.fr/

 

 

 

 

Source

 

E.DEO

 

 

Vidéo

 

SHINING hellfest 08 dedicaces

 

 


 

Face Book Hellfest : non aux subventions de la haine !


Inoffensif le Hellfest?

 

 

22:12 Publié dans Message, Polémique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : musique, média, culture, actualité, rock | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mardi, 20 mai 2008

Olivier Messiaen

 

 

 

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Le monde musical célèbre le centenaire de la naissance
 
de
 
l’organiste et compositeur Olivier Messiaen

 

 

 

 

 

 

Par

 

Enrique Merello Guilleminot 


membre du Chœur grégorien de Paris 

fondateur d’une schola grégorienne à Montevideo

 

 

 

 

 Né à Avignon le 10 décembre 1908. Il était juste qu’un hommage solennel soit rendu à ce créateur majeur qui a marqué à jamais le langage de la musique par des œuvres fortes et superbes. Mais il y a plus. Messiaen était un chrétien convaincu, dont la foi a été la raison même de la puissance expressive de ses œuvres, le fil unificateur de son inspiration, la fenêtre enfin par laquelle est entrée la lumineuse couleur de la Création, Création qu’il chantait avec admiration, tel un rossignol dirigeant ses mélodies vers le ciel dans la certitude de l’éternité. Son père (Pierre Messiaen) enseignait l’anglais, et sa mère (Cécile Sauvage) cultivait la poésie. Olivier Messiaen dira qu’il reçut de ses parents une « éducation féérique ». Dès l’entrée en guerre en août 1914, son père fut mobilisé. Sa mère quitta Avignon avec Olivier et son petit frère Alain, pour s’installer à Grenoble chez leur oncle. Entre temps, l’enfant avait commencé l’étude du piano, en s’attachant aux œuvres de Debussy et Ravel, mais aussi à celles de Gluck, Mozart, Berlioz, Wagner. Il a 8 ans lorsqu’il écrit ses premières compositions !

Après la guerre, la famille Messiaen passa une année à Nantes, puis s’installa définitivement à Paris, où Pierre Messiaen devint professeur au lycée Charlemagne. Ainsi, à 11 ans, Olivier put-il suivre les cours donnés au Conservatoire par Maurice Emmanuel, Jean Gallon, Marcel Dupré et Paul Dukas…

En 1930, lorsqu’il quitta le Conser­vatoire muni de cinq premiers prix, sa per­sonnalité musicale était déjà affirmée. Il voulut alors approfondir la rythmique hindoue, la métrique grecque, le chant grégorien et le chant des oiseaux, en qui il reconnaissait ses plus grands maîtres. « Leur virtuosité sans égale, disait-il, m’a imposé la recherche de doigtés extraordinaires. » Les œuvres de Messiaen connaissaient déjà une large diffusion, surtout depuis la création, en 1931, d’une pièce pour orchestre : « Les Offrandes oubliées ». La même année mourut Charles Quef, l’organiste de l’église parisienne de la Trinité. Sur la recommandation de Marcel Dupré, Messiaen fut nommé pour lui succéder dans une charge qu’il assumera 61 ans, selon la meilleure tradition organistique française. « Le Banquet cé­leste », « L’Ascension », « La Nativité du Seigneur » seront les œuvres les plus importantes, à l’époque, écrites pour l’instrument-roi par le compositeur qui désirait développer une musique sincère, et rendre ainsi à l’art « ses valeurs humanistes », face à la frivolité de ce temps-là. C’était l’esprit de la « Jeune France », un groupe dont firent partie André Jolivet, Jean-Yves Daniel-Lesur et Yves Baudrier, et auquel il restera toujours fidèle. En 1940, l’artiste devient soldat. Fait prisonnier à Verdun, il subit une longue captivité en Allemagne, au Stalag VIII-A. Il y fit la connaissance d’un violoniste, d’un clarinettiste et d’un violoncelliste. C’est pour eux qu’il composa le « Quatuor pour la fin du Temps », exécuté pour la première fois (lui-même étant au piano) dans le froid intense de l’hiver de 1941, devant ses compagnons de Stalag et leurs gardiens !

Le titre de ce chef-d’œuvre était le reflet de l’état d’esprit du compositeur durant sa captivité, mais il renvoyait aussi à son langage musical, à son esthétique, à sa conception du rythme. Il utilise en effet des « modes à transpositions limitées » et des rythmes spéciaux. Plus tard, dans les « Quatre études de rythme » (1950), il proposera une structuration du discours musical avec ses modes de valeurs et d’intensités, proches du sérialisme et avec des « neumes rythmiques » qui ramènent d’une certaine manière à la musique amesurée des Grecs ou au chant grégorien qu’il appréciait tant. « Très franchement, disait-il, je pense qu’il n’y a qu’une seule musique liturgique valable : le plain-chant. On n’a jamais fait mieux, et on ne fera jamais mieux ! » Il ajoutait : « C’est le plus beau trésor que nous possédions en France. » Ce n’est donc pas un hasard si, en 1974, des étudiants passionnés de grégorien ont fondé – avec les encouragements des moines de Solesmes - le Chœur Grégorien de Paris dont la réputation devait s’imposer.

Ses recherches et ses importantes publications techniques ont été entretenues par une intense activité d’enseignant : depuis 1936 à l’École Normale de Musique de Paris et à la Schola Cantorum, de 1942 et jusqu’en 1978 au Conservatoire de Paris. Il eut comme élèves Pierre Bou­lez, Karlheinz Stockhausen, Iannis Xénakis, George Ben­jamin, Pierre-Laurent Aimard, etc. Il est presque impossible de définir la musique d’Olivier Messiaen. Néanmoins, on peut s’arrêter à quelques caractéristiques de sa vaste production. Ainsi, le rythme et le chant des oiseaux mentionnés ci-dessus, la couleur, l’organisation des sons et surtout la foi chrétienne qui donne à sa musique un trait absolument personnel.

La couleur, c’est-à-dire le timbre des instruments, était pour lui le cœur de la musique. À cet égard, les œuvres les plus représentatives sont « Couleurs de la Cité céleste » (1963), « Chronochromie » (1960) et « Des canyons aux étoiles » (1974) composé à la suite d’une visite au Bryce Canyon de l’Utah (États-Unis). Ainsi Messiaen aime la couleur, la couleur qui traverse les vitraux. Les « sons-couleurs » structurent sa musique et lui donnent une dimension visuelle. Mais on ne soulignera jamais assez le caractère spirituel de la musique de Messiaen, qui fut si attaché à la foi authentique et aux choses du Ciel. Il écrivait « des œuvres religieuses qui sont des actes de foi » et conçues « pour chanter les mystères de la foi ». Tels sont le « spectacle » « Saint François d’Assise », commandé par l’Opéra de Paris et créé en 1983, ou bien la somptueuse cathédrale qu’est « La Transfiguration de Notre-Seigneur Jésus-Christ » (1969), pour sept solistes, un chœur de 100 voix, un orchestre de 109 musiciens. Épris de toutes les civilisations, qu’elles soient de l’Inde, du Japon ou de Java, il les intégra sans effort à ses créations. Épris du chant des oiseaux qu’il enregistrait et transcrivait avec soin, il en fit le « Catalogue des Oiseaux » (1958). Épris des étoiles et des mystères divins, il voulut susciter comme un « arc-en-ciel théologique », où il tendait à exprimer la vérité et la beauté de la foi. On ne peut nier que « L’Ascension » (1933), notamment la quatrième de ces « Méditations symphoniques », fait, pour ainsi dire, contempler le Christ alors qu’il monte vers son Père, entouré d’éclat. En 1989, à l’occasion de la remise du Prix international Paul VI, le Cardinal Lustiger lui disait : « Vous, musicien d’Église, vous êtes le seul parmi les musiciens contemporains dont l’œuvre est jouée de dimanche à dimanche. » Ce prix exprimait la reconnaissance de l’Église. Sa mort survint peu après, en 1992, laissant à l’oreille et au cœur de bien des gens une chose rare pour un compositeur contemporain : la présence d’un trésor d’une portée universelle.

 


 

 

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Source 
 
 
 
 
 

 

21:23 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : poésie, peinture, livre, écriture, techno, rock | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |