vendredi, 08 janvier 2010
1965-2009: faire Église autrement
La prière dans la rue Myrha, à Paris, dans le 18e arrondissement, en 2005.
Il faut lire jusqu'au bout l'Etude Ifop sur le catholicisme présentée fin décembre dans le journal La Croix. Elle ne mesure pas seulement l'effondrement de la pratique religieuse dans notre pays : si 64% des Français continuent de se définir aujourd'hui comme "catholiques", 4,5% d'entre eux déclarent assister à la messe chaque dimanche, ce qui représente en chiffres ronds trois millions de pratiquants.
L'étude Ifop est beaucoup plus instructive encore lorsqu'elle interroge en détail ces derniers pratiquants du catholicisme sur leurs intimes convictions.
Trois chiffres révélateurs et particulièrement accablants :
42% des catholiques pratiquants de France ne croient plus au "rôle civilisateur" de leur religion ;
63% se déclarent même d'accord ou plutôt d'accord pour affirmer que "toutes les religions se valent" ;
68 à 75% vont jusqu'à demander à l'Eglise de revoir d'urgence ses positions morales sur le divorce, la contraception et l'avortement...
Force est bien d'en conclure que deux catholiques "pratiquants" sur trois occupent les bancs de leurs paroisses sans aucune conviction sur les exigences individuelles et le rayonnement social de leur propre foi.
Ce n'est pas le cas des cinq à six millions de musulmans, français ou étrangers, qui vivent sur le territoire de notre République. La majorité de ceux qui "pratiquent" croient ici dur comme fer aux cinq piliers de l'islam ainsi qu'à la supériorité universelle et conquérante de leur religion. Combien sont-ils ? L'islam n'ayant pas de "culte" au sens propre, et la prière du vendredi n'étant pas l'équivalent de notre messe du dimanche, il faut prendre en compte les prescriptions rituelles, et notamment le jeûne du Ramadan, pour se faire une idée de la proportion des musulmans pratiquants :
70%, d'après une autre enquête approfondie de l'Ifop, ce qui induit une population totale comprise entre 3,7 et 4 millions de Croyants. La première communauté confessionnelle de France - au sens fort du nombre de croyants convaincus et pratiquants - est donc déjà celle des musulmans... A quelle vitesse ces vrais croyants de l'islam vont-ils à leur tour se "séculariser", se décérébrer, se démotiver, comme les catholiques de France depuis Vatican II, perdre toute conviction dans leurs pratiques, puis la pratique elle-même et le sentiment de détenir de près ou de loin une quelconque vérité ? Je ne parierai pas trop fort sur cette hypothèse agitée par les "laïcistes" et les sociologues bien-pensants : la foi a horreur du vide, et l'homme cherchera toujours la foi.
Hugues Kéraly
22:17 Publié dans Pieuse jacquerie à Thiberville, Polémique, Réflexion | Lien permanent | Commentaires (6) | Tags : france, catholiques, islam, ifop, foi église | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |
jeudi, 07 janvier 2010
Thiberville : un modèle pour l'Eglise !
Chronique d'une jacquerie
Mgr Nourrichard s'oppose à Summorum Pontificum
On apprend par Le Forum Catholique que Mgr Nourrichard, évêque d'Evreux, viendra à Thiberville (Eure) pour annoncer la révocation du curé, l'abbé Francis Michel.
Cet abbé, très apprécié de ses paroissiens, célèbre depuis des années, le dimanche matin, la forme ordinaire du rite romain, orienté vers l'Orient et en grégorien. Le dimanche aprèss-midi, il célèbre, dans une église toujours remplie, la forme extraordinaire du rite romain.
Sa révocation, longtemps désirée par l'évêque d'Evreux, est perçu comme une volonté de ne pas appliquer le Motu Proprio Summorum Pontificum.
Un comité de soutien à l'abbé Michel déclare :
"Le diocèse d’Évreux est l’un des plus sinistrés de France. Après Mgr Gaillot et Mgr David, Mgr Nourrichard gère la faillite d’une terre jadis chrétienne, où les églises se ferment les unes après les autres, les catéchismes sont désertés, les vocations découragées, les finances asséchées.
Dans ce désert, un prêtre, l’abbé Francis Michel, maintient la plus vivante des paroisses, Thiberville. Il se trouve que ce curé, qui n’est pas issu du monde traditionaliste mais qui est profondément traditionnel, c'est-à-dire catholique, a appliqué par anticipation le Motu Proprio Summorum Pontificum du pape Benoît XVI, depuis de longues années. Chez lui sont célébrées des messes dans la forme dite aujourd’hui « extraordinaire » et des messes dans la forme « ordinaire », mais de manière conforme aux vœux de Benoît XVI et « tournées » vers le Seigneur. Le résultat ? Thiberville et les 14 clochers que dessert l’abbé Michel forment l’ensemble catholique le plus vivant et le plus missionnaire – le seul encore vivant – du diocèse d’Évreux : église de Thiberville comble à toutes les messes, desserte « tournante » des autres églises, catéchismes, participation active des fidèles, foule d’enfants de chœur, confréries, toutes les églises magnifiquement restaurées, enterrements célébrés par le curé lui-même, etc. Ces paroisses où la communion de tous les catholiques est vécue de manière exemplaire est un modèle d’application de la volonté du Pape.
L'abbé Francis Michel
Au-delà de toutes les autres raisons avancées, c’est pour cela que l’évêque voudrait faire disparaître le culte à Thiberville. L’idéologie de « l’esprit du Concile », avec 40 ans de retard, doit s’y appliquer. Après bien des épisodes, Mgr Nourrichard va tenter d’enterrer cette expérience : dimanche prochain, le 3 janvier, il se rendra à Thiberville avec ses collaborateurs et, lors de la messe de 10h, il annoncera avec « douleur » sa décision sans appel : la paroisse de Thiberville n’aura plus de curé propre qui est « révoqué » et la paroisse sera jointe à un « ensemble paroissial », celui de Bernay. La mort du catholicisme paroissial plutôt que le recul de l’idéologie.
A Thiberville et dans tout le canton, c’est la consternation. D’abord parce qu’on y aime beaucoup l’abbé Michel et ensuite parce que l’évêque ne le remplacera pas. Tous les élus locaux de la région et tous les paroissiens seront présents pour dire leur soutien à ce prêtre très populaire, qui a pu commettre des maladresses mais dont le tort principal, pour son évêque, est d’être trop « papiste ».
Le dimanche 3 janvier, la protestation catholique du Peuple de Dieu se fera dans le plus grand calme pour demander qu’à Thiberville la volonté du Pape soit appliquée."
L'intérieur de l'église
Dimanche 3 janvier 2010
Tout le monde avait aujourd’hui les yeux fixés sur ce cas exemplaire d’une communauté paroissiale paysanne locale qui veut appliquer les décisions du pape et que l’évêque veut faire mourir.
Le spectacle a dépassé ce que l'on pouvait imaginer : une communauté unanime qui crie (physiquement) sa colère contre sa condamnation à mort par le "pasteur", évêque du lieu.
Mgr Nourrichard, évêque d’Évreux, l’un des prélats les plus progressistes de France, est donc arrivé ce matin à Thiberville à 9h 30, avec son vicaire-général, curé de Bernay, le P. Vivien, pour annoncer la révocation du curé trop papiste à son goût. Il s’est engouffré dans l’église et s'est d'abord terré dans la sacristie. Tous les paroissiens locaux de l'abbé Michel étaient là. L’église était archicomble, nef, chœur, chaire même, une partie des paroissiens n’ayant d'ailleurs pas pu entrer. Au premier rang, étaient présents le maire et conseiller général avec tout le conseil municipal, dans le chœur la confrérie des charitons en grande tenue.
L'abbé Michel sort alors de la sacristie pour les derniers préparatifs de la messe de l'évêque : il est accueilli par une ovation interminable, comme lorsque le Pape entre dans Saint-Pierre de Rome.
Puis entre l’évêque d’Évreux. Il est tellement troublé par l’ambiance houleuse qu’il explique, par un lapsus malheureux qu’il est venu à Thiverville célébrer « la Toussaint ». Hilarité générale. Ensuite, lorsqu'il veut annoncer la révocation injuste de l’abbé Michel la pieuse jacquerie, semblable à celles qu'ont subies certains prêtres constitutionnels de la Révolution s'est amplifiée au maximum (on a vu une paroissienne jeter des cierges du haut de la chaire). En quelque sorte, une "préparation liturgique pénitentielle" improvisée.
L'évêque continue alors la messe. Les parents se lèvent et vont chercher leurs enfants servants de messe. Les élus locaux se lèvent et sortent. L'évêque, qui ne sait plus où il en est, apostrophe l'assistance, intimant à ceux qui ne sont pas d'accord l'ordre de sortir. Ce que tout le monde fait, sauf 21 personnes, dont 3 seulement de Thiberville.
Dans et hors de l’église, l’évêque d’Évreux a pu mesurer la colère du Peuple de Dieu, chacun, les plus vieux n'étant pas les moins engagés, s’approchant de lui pour lui dire ses quatre vérités et lui conseillant de réviser son catéchisme. A quoi il oppose un mépris total pour ces bouseux normands qui n’ont décidément rien compris au Concile.
L’abbé Michel a alors annoncé qu’il allait célébrer une messe à Bournainville-Favrolles, à 11H 15. Les élus et les paroissiens l’ont suivi en si grande foule que l’église n’a pas pu contenir tout le monde. Messe « réforme de la réforme » face à Dieu. L’évêque en état de rage froide a poursuivi sa victime, mais n'a pu pénétrer dans la nef. Pendant ce temps, l’abbé Michel annonçait qu’il restait curé du lieu, ce qu’une décision romaine ne manquera certainement pas de confirmer dès qu’un recours sera porté contre le décret de l’évêque.
Dernier acte de la pièce du jour, ce soir, à 17h, à Thiberville, où l’abbé Michel célèbrera, comme tous les dimanches, une messe de forme extraordinaire. L’évêque, qui ne désarme pas, a annoncé qu’il serait là…
Le tout devant la télévision et les journalistes locaux. Des journalistes parisiens présents, que l'on ne peut taxer de traditionalisme, étaient particulièrement stupéfaits et concluaient que l'évêque qui s'était montré totalement incapable de gérer une situation qu'il avait provoquée, devait logiquement démissionner.
Paris-Normandie 30 décembre 2009
L'Eveil Normand 30 décembre 2009
Voici le lien du diocèse ou vous pourrez vous exprimez librement auprès de Mgr Nourrichard :
Voici le lien du blog pour soutenir l'abbé Michel:
Soutien à Monsieur l'abbé Michel
On peut adresser des lettres de soutien à :
Monsieur l'Abbé Francis MICHEL
Curé de Thiberville
Presbytère
27230 THIBERVILLE
Homélie et sermon de Monsieur l'Abbé Michel
Pour faire cette note nous avons visité:
Mgr Nourrichard, un evêque au service de qui ???
Forum de la Famille Catholique
Réactions
13:09 Publié dans Benoît XVI, Motu Proprio, Polémique, Réflexion | Lien permanent | Commentaires (14) | Tags : religion, actualité, france, mgr nourrichard, thiberville | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |
lundi, 16 novembre 2009
VIVE LE MARIAGE
Le PaCS a dix ans.
Parce que :
- le PaCS institutionnalise la précarité. Comme disait Napoléon à qui nous devons le Code civil : « Les concubins ignorent la loi, la loi les ignore ». Pour bénéficier des avantages du mariage, les concubins n’ont qu’à se marier. Mais le mariage a un prix : l’engagement public. L’Etat, pour une société plus stable, moins précaire, moins cruelle avec les plus faibles, a le devoir d’encourager cet engagement, donc le mariage. Favoriser le Bien commun, c’est « ne pas remplacer la famille par d’autres institutions ou d’autres formes d’unions ». Les hommes et les femmes de bonne volonté doivent agir ensemble en « [célébrant] la beauté et la fécondité de la famille, fondée sur le mariage, sa vocation exaltante et son rôle indispensable au sein de la société » (Benoît XVI). Au lieu de cela, l’Assemblée nationale et le Sénat, très majoritairement composés d’hommes, ont mis en place le PaCS il y a maintenant dix ans. Véritable régression, il permet, entre autres, la répudiation de la femme par l’homme. Source de précarité pour l’enfant, le PaCS est une régression pour notre société.
- le PaCS menace le mariage. Il a été signé 145 000 PaCS en 2008 contre 101 000 en 2007 et 22 000 en 2000. En 2008, justement, 273 500 mariages ont été célébrés en France. Un chiffre en baisse depuis 2000 (305 000 mariages). On le constate, le PaCS entre homme et femme est en train de concurrencer le mariage. De le rattraper et même de le dépasser : alors qu’en 2007 on comptait 443 Pacs pour 732 mariages dans le XIe arrdt de Paris, en octobre 2009, le nombre de Pacs a depassé pour le moment le nombre de mariages: 583 Pactes pour 521 mariages. Or :
* le mariage assure la pérennité de notre société et l’union de l’homme et de la femme ne relève pas de la seule sphère privée. Elle a précisément une fonction publique parce que c’est en son sein que naissent les enfants. Or, selon le mot d’Ernest Renan, « aucune civilisation n’a été bâtie par des personnes seules, nées de parents inconnus et mortes célibataires sans enfants ».
* le mariage assure la protection des membres de la famille, notamment de la femme et des enfants.
- le PaCS a été mis en place pour satisfaire les revendications des lobbies homosexuels qui prétendent parler au nom de tous les homosexuels. Il est une première étape vers le « mariage » homosexuel. Le père du PaCS, le député Patrick Bloche ou la présidente de la Commission des lois à l’Assemblée nationale de l’époque, Catherine Tasca, ne l’ont jamais caché.
On n’a même jamais autant parlé de « mariage » homosexuel que depuis le vote des lois sur le PaCS du 15 juin 1999 et du 23 juin 2006. C’est d’ailleurs à l’occasion des 10 ans du PaCS que le maire de Montpellier, Hélène Mandroux-Colas, a lancé un « appel des maires en faveur de l’ouverture du mariage aux couples homosexuels »
La droite en 1999 ne s’y était pas trompée. Elle avait massivement voté contre le projet de loi socialiste instituant le PaCS. Elle était à l’époque dans l’opposition.
Elle est aujourd’hui au pouvoir.
Entre temps, le PaCS a prouvé qu’il était synonyme de plus de précarité.
Nous demandons l’abolition d’une atteinte insupportable au droit à la pérennité et à la stabilité des familles.
Nous demandons l’abolition d’une atteinte en puissance au droit de l’Enfant à avoir un Papa et une Maman.
Nous demandons l’abolition du PaCS.
Maintenant.
18:38 Publié dans Famille, Polémique, Réflexion | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pacs, actualité, société, famille, député | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |
mardi, 10 novembre 2009
Rosaires pour la vie
Dans de nombreuses villes de france
LISTE DES ROSAIRES de SOS TOUT PETITS
AIX EN PROVENCE : à l'angle des rues Henri Pontier et des Tamaris,
AVIGNON : Notre Dame des Dons
ALENÇON : rue Fresnay près de l'hôpital,
ANGERS : place du maréchal Leclerc, près du Palais de Justice,
ANGOULÊME : place de l'église St Martial,
AUXERRE : parvis de la cathédrale St Etienne,
BESANÇON : place de la cathédrale,
BORDEAUX : parvis de la cathédrale St André,
BREST : église Saint Louis
CAEN : place de la Résistance, statue de Jeanne d'Arc,
DIJON : avenue du maréchal de Lattre près de l'hôpital du Bocage,
GRENOBLE : hôpital de la Tronche,
LAVAL : place de la Tremoille sous la cathédrale,
LILLE : angle de l'avenue Kennedy et de la rue de Paris, à 10 h 30
LYON : quai du Rhône à 15 h,
MARSEILLE : hôpital de la Timone,
MONTPELLIER : esplanade Ch. de Gaulle, devant le monument aux Arméniens,
NANCY : place d'Alliance,
NANTES : parvis de l'église St Nicolas
PARIS : place St Michel,
PERPIGNAN : promenade des Platanes pris du palais des Congrès,
POITIERS : parvis de Notre Dame la Grande
SAINT ETIENNE : cathédrale Saint Charles
TOULON : place Louis Blanc, près de saint François de Paul
TOULOUSE : devant la cathédrale Saint Etienne
VANNES : parvis de la cathédrale,
VERSAILLES : place du Marché,
VICHY : parvis de l'église St Louis,
A l'étranger en union avec les prières de SOS Tout Petits en France :
Belgique : NAMUR rue Blondeau, en face du Planning,
Côte d'Ivoire : ABIDJAN devant l'hôpital d'Abidjan-Treischville
Luxembourg : messe à 18 h à la cathédrale
Philippines : GENERAL SANTOS (Mindanao) parvis de la cathédrale
SAN PALOC : cathédrale
MANILLE : cathédrale
Source
18:57 Publié dans Famille, Message, Polémique, Pour la vie, Prière | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : avortement, famille, enfance, société, actualité | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |
jeudi, 23 juillet 2009
STOP CATHO INTOX
"Si ton frère vient à pécher, va le trouver et reprends-le, seul à seul. S’il t’écoute, tu auras gagné ton frère. S’il ne t’écoute pas, prends encore avec toi un ou deux autres, pour que toute affaire soit décidée sur la parole de deux ou trois témoins. Que s’il refuse de les écouter, dis-le à la communauté. Et s’il refuse d’écouter même la communauté, qu’il soit pour toi comme le païen et le publicain. (Mt 18,16-17)"
Catholiques engagés, nous sommes convaincus qu'aujourd'hui la vrai fracture en politique ne se situe plus entre droite et gauche, mais entre "culture de vie" et "culture de mort".
De ce point de vue, les choix politiques revêtent donc, plus que jamais, une gravité sans précédent : "tout ce que vous avez fait au plus petit d'entre les miens, c'est à moi que vous l'avez fait".
Or, force est de constater qu'aussi étonnant que cela puisse paraître, ceux qui sont censés éclairer leurs frères, s'appuient sur leur autorité pour désinformer et influencer leur vote.
Nous avons alerté à plusieurs reprises les rédactions concernées de ces dérives et pour seule réponse nous avons eu un enfermement dans leurs propos. Incompétence(?) ou mauvaise foi(?)... Dieu seul est juge.
Jusque là abonnés fidèles de Famille Chrétienne et/ou donateurs d'organismes tels que Liberté Politique, nous considérons aujourd'hui de notre devoir de chrétien de prendre de notre temps pour faire connaître ces dérives qui conduisent des hommes et des femmes de bonne volonté à promouvoir ce qui est intrinsèquement pervers.
Notre objectif n'est pas de nuire, mais d'empêcher de nuire.
Où on fait mine de découvrir une des conséquences du génocide "avortement"
Lu ici :
"Vers 2015, la proportion mondiale de personnes âgées de plus de 65 ans dépassera celle des enfants de moins de 5 ans, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité".
12:54 Publié dans Polémique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : avortement, culture de mort, jean-paul ii, catholique | | Imprimer | | del.icio.us | Digg | Facebook | | |