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mardi, 30 septembre 2008

Interview du frère de Benoît XVI

Exclusif : Georg Ratzinger - le frère du pape - parle.

 

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Miguel Garroté – Je publie ci-dessous quelques extraits que j’ai sélectionnés dans une longue interview menée par Andrea Tornielli pour  ilgiornale avec Georg Ratzinger, le frère de Benoît XVI. La clarté, tant des questions posées par Andrea Tornielli et que des réponses données par Georg Ratzinger contribuent - selon moi - au débat permanent sur l’Eglise. Je me souviens avoir lu et entendu Caroline Glick, du Jerusalem Post et François Célier, pasteur protestant faire l’éloge de Benoît XVI. Cela ne m’a pas laissé indifférent. Sur la question spécifique de l’amitié judéo-chrétienne, j’ai quant à moi écrit le 15 septembre dernier un article intitulé Benoît XVI et le Judaïsme, article publié sur leblogdrzz, monde-info, juif.org et israel-infos.net. Aujourd’hui, je soumets l’interview ci-dessous, illustrée par mes soins, à votre bienveillant esprit critique.

Andrea Tornielli pour ilgiornale - Pouvez-vous nous dire quelque chose sur votre vie familiale et sur vos parents ?

 

Georg Ratzinger - « Nous étions une famille très unie. Notre père était commissaire de police, il provenait d'une vieille famille d'agriculteurs de la Basse Bavière. Ma mère était fille d'artisans, et avant de se marier, elle avait travaillé comme cuisinière. Lorsque c'était possible nous, les enfants, nous allions à la messe chaque jour. On prenait le petit déjeuner à la maison. Ensuite on se voyait de nouveau à déjeuner. Selon la tradition bavaroise nous mangions d'abord une soupe et ensuite le plat principal. L'après-midi nous vaquions à nos occupations, et ensuite avec mon frère nous allions nous promener en ville. Ensuite on dînait ensemble. À l'époque il n'y avait ni radio ni télévision, et le soir notre père jouait de la cithare et chantait des chansons. Ensuite on allait tout de suite au lit ».

 

 





Interview du frère de Benoît XVI

 

 

Quelle opinion avait votre père du nazisme ?

 

« Dès le début, il a été un farouche opposant du nazisme. Il a vite compris que le national-socialisme serait une catastrophe et qu'il n'était pas seulement un grand ennemi de l'Église mais plus généralement de toute foi et de toute vie humaine ».

 

Vous et Joseph, avez-vous été obligés de vous engager dans les Hitlerjugend, la Jeunesse hitlérienne ?

 

« L'État avait décidé que tous les garçons des écoles, selon leur âge, devaient s'inscrire à des groupes de jeunes déterminés. Lorsque cela devint obligatoire, nous fûmes inscrits en bloc. Il n'y avait pas de liberté de choix et ne pas se présenter aurait certainement eu des conséquences fâcheuses. Mon frère, cependant, ne fréquentait pas ces rassemblements et il ne se présentait pas aux appels. Ce qui impliqua un dommage économique pour ma famille puisqu'elle ne bénéficia plus de l'escompte sur les taxes scolaires ».

 

Est-il vrai qu'un membre de votre famille finit tué dans l'Aktion T4, le projet nazi d'euthanasie ?

 

« C'était notre cousin, le fils d'une soeur de ma mère. C'était un enfant beau et gai, mais il souffrait de troubles mentaux. Il n'était pas en mesure de dialoguer correctement ou de participer aux conversations. Je ne peux rien dire de plus précis sur sa maladie. Ce n'est que beaucoup plus tard que nous découvrîmes que les nazis étaient venus le chercher chez lui, et qu'il avait été tué dans un camp d'extermination ». 



Le séminaire de Traunstein

Interview du frère de Benoît XVI

 

 

 

En 1935 vous êtes entrés au séminaire diocésain de Traunstein. Joseph a écrit dans son autobiographie : « Je suivis ses traces ». Comment naquit la vocation de Joseph ?

« Mon frère et moi, nous étions tous les deux enfants de choeur, et nous servions la messe. Ce fut très vite clair, d'abord pour moi et ensuite pour lui, que notre vie serait au service de l'Église ».

 

Comment la seconde guerre mondiale a-t-elle pesé sur votre vie et sur la vie de votre frère ?

 

« La guerre nous a éprouvés profondément, même lorsque nous étions à maison : la nourriture suffisait à peine. Nous avions un billet pour l'approvisionnement mensuel en nourriture, avec lequel on pouvait acheter seulement certains types d'aliments comme le sucre, le beurre, la matière grasse et un peu de viande. Le soir il fallait obscurcir les fenêtres pour ne pas laisser sortir la lumière et ne pas se faire voir des avions des alliés. J'ai été appelé d'abord au service du travail et ensuite au service militaire. Mon frère a été appelé quelque temps après moi. Nous avions des objectifs et des idéaux qui étaient opposés à ceux d'Hitler, mais nous étions soldats malgré tout. Il nous tardait qu'arrive le jour où la guerre serait finie ».

 







Interview du frère de Benoît XVI

 

 

 

Joseph Ratzinger, que ce soit comme cardinal, ou comme Pape, a parlé des racines communes qui lient hébraïsme et christianisme. Aviez-vous des contacts avec des juifs dans votre famille ?

 

« C'est une donnée théologique que les juifs sont le peuple choisi par Dieu et que de ce peuple naquit Jésus, engendré par la Vierge Marie. Mais je dois admettre qu'à l'époque nous savions qu'il existait des juifs seulement par l'enseignement de la religion. Dans notre région, il n'y en avait pas, c'est la raison pour laquelle nous n'avions ni contact ni expérience vécue avec eux. Nous ne savions rien non plus des pogroms contre les juifs et des injustices commises dans leurs relations avec les nazis. Nous étions dans l'ignorance de tout ».

 

Votre frère, au temps de Concile, fut défini comme un « teenager de la théologie », un théologien de la mouvance progressiste, et il était le conseiller du cardinal Frings. Quels souvenirs avez-vous de ces évènements ?

 

« Je ne sais pas qui a forgé l'expression « teenager de la théologie » en se référant à mon frère. Dans cette période je n'étais pas à Rome: je n'y suis allé qu'une fois, avec Joseph et plusieurs professeurs allemands qui remplissaient un rôle d'experts au concile. Il était clair qu'il y avait la nécessité d'une ouverture, d'un développement théologique. Mon frère a contribué à la réalisation de tout cela, avec toute son intensité spirituelle et je crois qu'une partie du mérite de l'introduction de quelques idées nouvelles, qui étaient partie intégrante de nos convictions et de notre foi catholique, doit lui être attribuée ».

A l'époque post-conciliaire, le professeur Ratzinger s'est retrouvé à Tübingen, dans une faculté théologique transformée en « centre idéologique » du marxisme. Votre frère a-t-il changé au cours de ces années ?

 

« Non, il n'a pas changé. Les jeunes, en Allemagne vivaient un état de trouble. La poussée vers le changement qui avait eu lieu dans le Concile, se manifestait avec plus de force parmi les laïques. Les jeunes allemands et des autres pays vivaient dans un climat instable, sans contrôle. L'idée dominante était que tout devait changer, il fallait introduire des nouveautés: mon frère approuvait celles qui étaient bonnes mais il rejetait celles qui étaient inconciliables avec la foi. L'idée que le Concile ne devait apporter que la nouveauté n'était pas correcte, puisque le but était celui de présenter d'une manière adaptée aux temps la foi catholique de toujours ».






Interview du frère de Benoît XVI

 

 

 

De qui s'inspirait votre frère quand il était professeur ?

« Dans ses cours, il s'inspirait de quelques théologiens français, il avait comme modèles surtout Henri de Lubac et le théologien suisse Hans Urs von Balthasar. Au centre de son travail, il y avait la Sainte Écriture et les écrits des pères de l'Église. Pendant ses études universitaires il avait cherché à redécouvrir ce patrimoine, à le faire sortir de l'oubli et à le raviver ».

 

Quelle signification a la liturgie pour les frères Ratzinger ?

 

« La liturgie, la messe, représente le coeur de notre foi et de notre action, elle est la rencontre personnelle avec Dieu. Ceci naturellement est à la première place. Nous ne pourrions pas imaginer un jour sans la messe, sans la liturgie, ce serait un jour pauvre, privé de l'essentiel… ».

Pourquoi Benoît XVI a-t-il voulu libéraliser l'ancienne liturgie pré-conciliaire avec le Motu Proprio « Summorum Pontificum » ?

« À l'époque de la réforme liturgique, le changement se produisit rapidement et il ne fut pas facile pour tous à accepter. D'un jour à l'autre l'ancienne liturgie fut remplacée par la nouvelle, à laquelle nous sommes maintenant attachés et avec laquelle nous célébrons la messe avec une participation intérieure pleine de joie. Il y eut, cependant, certains dans l'Église qui n'acceptèrent pas complètement ce « saut », puisque la perte de l'ancienne liturgie les avait privés de quelque chose et avait bouleversé leur foi. Pour ne pas laisser ces personnes seules, pour les réintégrer pleinement dans la communauté ecclésiale, mon frère a décidé de libérer l'ancienne liturgie pré-conciliaire».

 

 






Interview du frère de Benoît XVI

 

 

 

Pouvez-vous nous raconter comment vous avez passé ensemble, cette année, les vacances d'été à Bressanone (photo). On dit que vous vous promeniez ensemble et qu'on vous voyait souvent sourire ?

 

« Nous avons passé beaucoup de périodes de congé à Bressanone et avons vécu dans le séminaire, celui-là même où nous avons été cette année. Les autres fois, cependant, nous pouvions sortir, nous promener tranquillement en ville et visiter les églises. A présent que mon frère est le Pape tout cela n'est plus possible. Ainsi nous avons dû rester à l'intérieur et faire les promenades dans le jardin du séminaire. Ces promenades ont été belles malgré tout, même si j'ai des problèmes à me promener. J'ai des gros problèmes avec la vue et avec les jambes ».

 

Votre frère s'est-il habitué à être le Pape ?

 

« Oui, il s'est habitué rapidement à sa nouvelle condition. Il doit simplement accepter ce nouvel ordre des choses. Il le vit comme la volonté de Dieu et s'engage avec toutes ses capacités ».

 

Les mots que Benoît XVI répète le plus souvent sont « joie », « amour » et « beauté ». Ils contrastent avec l'image du « panzerkardinal » avec lequel il a été décrit pendant des années ?

 

« Oui, je pense que cette image le décrit mal et ne correspond pas à la réalité. Il n'a jamais été un homme brusque, avec l'intention d'offenser les autres. Il a eu toujours beaucoup de respect de l'opinion d'autrui. Souvent les media créent des images fausses des gens ».

 

Interview menée par Andrea Tornielli pour  ilgiornale

 

 

 

 

 

20:03 Publié dans Benoît XVI | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : actualité, religion, politique, pape, rome | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

Commentaires

Vous me permettez de commenter cette article documentant la vie d’enfances et de jeunes hommes adultes de ces deux frères en le Seigneur ayant ‘’Haute Charge’’ en notre Sainte Église de Saint Pierre de Rome. Je vous en remercie chaleureusement.

‘’C'est une donnée théologique que les juifs sont le peuple choisi par Dieu et que de ce peuple naquit Jésus, engendré par la Vierge Marie. Mais je dois admettre qu'à l'époque nous savions qu'il existait des juifs seulement par l'enseignement de la religion.’’

La Tradition Juive, qui présida à la naissance du Sauveur, le Crucifia sur la Croix du Monde comme tous les Prophètes prédécesseurs qui ont subit un sort semblable ayant tenté de faire Vibrer la Foi en Dieu ; c’est connu. De même en ce qui concerne les Saints Martyrs de la Foi Chrétienne en ses Enfants.

Comme il est connu aussi, que le Nouveau Testament ainsi que le Flambeau de la Foi d’Abraham en Saint Joseph fut ‘’Remis’’ à un autre Peuple Élu de Dieu et dont les Fondements trouvent leurs sources en Saint Pierre et Saint Paul, tous deux Choisis Apôtres Fondateurs du Christ par le Seigneur Jésus Christ Fils de IHWH Notre Seigneur lui-même.
Le premier ; ‘’Fils de Jonas’’ le prophète, comme Signe par la désignation de IHWH, Son Père et notre Père et ce, par le Saint Baptême de Repentir octroyé par son prédécesseur Jean Baptiste, et Reconnu par Jésus en le disant Bien Heureux que la Connaissance Divine lui permit de Désigner Celui qui le Reconnu à son tour comme étant la Fondation de la Nouvelle Alliance rendant Vétuste l’Ancienne et l’Établissant Fondement de la Nouvelle Assemblée et Nouvel Israël selon l’Esprit Saint.

Ainsi Képhas Simon Pierre fut-il nommé ‘’fils’’ de Jonas Prophétiquement de la Bouche de Notre Seigneur en raison des trois reniements de ce dernier face à la Volonté du Père et du Fils pour que le Monde soit Sauf et Saint par la Foi et en Ses Oeuvres de Commisérations.
‘’J’ai Prié pour que Ta Foi Demeure Simon Pierre ! Quand tu seras Revenu d’être Passé au Crible comme le Froment par Satan, Va Affermir tes Frères !’’

Le deuxième ; Saint Paul, fut Élevé de sa bassesse, ayant déchu de son ‘’Orgueil’’ héréditaire pharisaïque hérité des ‘’gardiens’’ de la Tradition Juive, et ainsi fait, connu la Sainte Volonté du Crucifié concernant le Nouvel Ordre Messianique Décrété par la Miséricorde Divine en l’Élection de Son Fils et Nouveau Maître de la Nouvelle Création en une Nouvelle Terre et un Nouveau Ciel exempt de Tout Mal et de Tout principe de Mal.

Une Création Tout AUTRE ayant comme fondement une Innocence Restauré de l’âme humaine déchu et cela par les Oeuvres et le Labeur des Mérites de Jésus Crucifié Oeuvrant et aidant le Croyant à ‘’Apprendre’’ personnellement à Rejeter tous Mal en soi. Ainsi, par la Grâce Sanctifiante être invité a ‘’Participer’’ dans un premier Mouvement à l’Établissement d’une Nouvelle Terre à l’Image de la Sainteté de la Mère des Fils de l’Homme et des Fils de Dieux.

Nouvelle Terre abritant les Demeures de ceux ayant par leur Baptême d’Eau Reçus le Saint Don du Repentir afin de ‘’faire toute Justice’’ et dans un second Mouvement, suivant le Don de Feu du Glaive de Discernement et, de la Demande du Don de Commisération, en le Baptême d’Esprit Saint sur la Sainte Croix de Partage, Co-Oeuvrer à l’établissement des Demeures Célestes du Nouveau Ciel parmi les Élus en faisant Oeuvre de Charité : non selon la philosophie, mais selon l’Agapè de l’Amour du Christ par des Oeuvres de Prières Sanctifiant les ‘’veuves’’ et les ‘’orphelins’’ n’ayant pas de Père Véritable et d’Époux Authentique en eux-mêmes pour Rejoindre Librement les Fils de l’Homme Restauré et les Fils de Dieu Engendré à Nouveau en Participation à la Vie même de Dieu : Vie de IHWH Adonaï, Notre Père, en Son Sein.

La Réconciliation avec le peuple déchu de l’ancien Israël inauguré par Vatican II et appuyer et secondé par Saint Jean Paul II, par ‘’anticipation’’, était de Volonté Divine afin d’offrir la Réconciliation de Paix de Dieu à tous les peuples porteur du ‘’Semina Verbi’’ et ainsi, aussi à ce peuple terminant ces Épreuves de Châtiment Divin échelonné sur près de 2,000 ans.

Cette Réconciliation n’a de propos que d’offrir l’invitation au Baptême de Repentir à la descendance des pères de la Foi en l’ancien guide du peuple constitué par le Patriarche Abraham. Non par prosélytisme, mais par acte d’Amour initié Librement en le coeur de l’homme ayant Entendu en lui-même l’appel de Dieu et ce par les Prières et les Oeuvres de la Foi.

Faute d’Avoir Tuer le Fils de Dieu et ne toujours pas le Reconnaître comme Messie et Sauveur. Faute d’avoir enseigné des doctrines et des spéculations contraire à la Vérité issue de cogitation tiré des Saintes Écriture comme pseudo ‘’science et sagesse’’ ésotérique sacrifiant ainsi aux Idoles psychiques la vie qu’ils leurs étaient donné par Celui là même qu’ils prétendaient servir et qu’ils ‘’Desservent’’ encore plus de nos jours, de plus en plus, en prétendant être le seul peuple héréditaire de la Foi et des Prescriptions Divine pour ‘’Ramener’’ l’humanité à genoux à Dieu, tout en étudiant de maîtres à disciples la Kabbale et ses inepties concernant le corps d’énergie vitale naturel constitué par les dix sephirot liant le souffle vital de l’infiniment petit à l’infiniment grand du centre de la transcendance à et de cet univers Déchu remit entre les mains de l’Adversaire et du Tentateur de toutes Prostitutions spirituelles qui se prend pour dieu.

Derrière les apparences angéliques des bonnes paroles et invitations de ces gens là pour le plus grand nombre hélas, se cache des desseins qui relèvent de Juda Iscariote en ceux qui en Église du Christ Jésus en Saint Pierre de Rome ont déjà traversé et épousé cette monstrueuse ‘’Prétention’’ à gouverner religieusement et spirituellement le Monde entier à Trois Religion du Livre sous la Gouverne de l’État d’Israël. Prétention tiré des Paroles Prophétiques du Livre d’Isaïe.

Prophéties qui rappelons-le concernent d’une part, ceux qui vont de la gauche, tout en concernant d’autre part, ceux qui vont de la Droite. (la jérusalem terrestre versus la Jérusalem Céleste tel que Mentionné au Livre des Révélations du Nouveau Testament)

L’Herméneutique issue de la Sainte Communion au Corps du Christ dans l’Eucharistie nous l’Enseigne bien, tout comme le Psaume deuxième en son commencement et en sa fin qui est le prolongement du Premier Psaume sur lequel est Fondé le Jugement Dernier en le coeur de tout homme déchu (de la gauche) ou de Tout Homme Restauré (de la Droite) par la Grâce et la Miséricorde Divine.

Aimer les enfants de Dieu et Frères du Seigneur non selon le Monde et sa paix, mais selon les Oeuvres d’Amour du Coeur de Dieu.

Prier pour que les ennemis de l’homme quel qu’ils soient Reçoivent par Intercession Fervente le Saint Don du Repentir et la Sainte Guérison en eux-mêmes du Stigmate de la Faute afin d’avoir leur être en soi Restauré en l’Innocence Originel en Soi par les Mérites des Oeuvres et du Labeur Divin de Jésus et de Ses Frères Restauré en leur Innocence Originel pour les uns et Engendré à Nouveau en Fils de Dieu pour les autres. Non pas le labeur de soi et de sa volonté propre même basé sur les meilleurs intentions du Monde sur ce corps d’énergie psychique vitale naturel condamné en Faute d’humanité.

La pire chose qui puisse arriver à l’être humain est d’être attachée pieds et points liés à la Tradition religieuse en lequel il prend naissance par ceux là même qui les enchaînes par des arguments issue de la déraison de dame Folie. En la Chrétienté de la Sainte Mère l’Église, Fondation de la Sainte Assemblée du Christ Jésus en Saint Pierre de Rome, toute prédication en ce sens doit être déconsidéré et dénoncé haut et fort.

La Seule et Unique Langue Sacré des Enfants de Dieu Réside en la Langue de Feu qu’Est l’Esprit Saint. Et l’Esprit Saint sait très bien se Faire Entendre et Voir en Compréhension en n’importe quel langage humain par les Aimants Dieu en la Sainte Piété et Chasteté en Esprit et Vérité.

La langue du siècle d’un peuple est un ‘’vaisseau’’ porteur de prédispositions tout autant que le Latin, le Grecque, l’Araméen ou l’Hébreux prétendu langue sacré. Ne nous y abusons pas ! Endormir par des paroles incompréhensibles les ‘’Béni de Dieu’’ au Saint Office sous prétexte d’actes relevant du sentiment n’est pas autre chose que des fruits relevant de l’amour philèen ou pire de l’amour agapè de la vaine philosophie grecque, romaine, hébraïque et Cie...

La Seule Langue qu’il m’est Donné par Grâce, en l’Étude et le Dialogue issues des Saintes Écriture et leur Merveilleux ‘’Enseignement’’, c’est celle qui est Venu et Reçu avec le Baptême d’Eau et de Feu dispensé par Dieu par le Ministère des prêtres dûment ordonnés par la Sainte Église Une et Apostolique en son Oecuménisme et sa Catholicité, en les Sacrements de l’Eucharistie et le Sacrement de Réconciliation.

Ce sont là les deux seul ‘’Ailes’’ de la Colombe de Paix fondé sur le Saint Baptême Reçue à ma Naissance en l’Autre Monde Tout Autre. L’une pour Faire Toute Justice sur une Terre Sacré et l’autre Pour Faire Oeuvre de Coopération en l’Oeuvre de Merci Avec et au Nom de Jésus Christ Fils du Dieu Vivant en un Ciel Tout autant Sacré.

Il n’y a de ‘’fondamentaliste’’ et ‘’d’extrémiste’’ que ceux qui projettent la ‘’poutre’’ qu’ils ont dans leur ‘’oeil ’’ sur leurs semblables croyant avoir en le leur une paille bien excusable à leur yeux et à l’égard de celui qui les mobilise à sa guise et qui se tient au ‘’centre’’ derrière eux.

Comme nous l’Enseigne Jésus en le Nouveau Testament et Saint Isaïe(s) dans l’Ancien Testament.

Merci de m’avoir permis de rendre témoignage sur ces deux points extrêmement important par les ‘’temps’’ qui court en cette humanité et en les courts intérieures et extérieures de la Sainte Église.

Écrit par : Pierre Omer | mercredi, 19 novembre 2008

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