Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 25 mars 2010

Le journalisme poubelle du New York Times

 

L'incroyable arnaque du NYT

 

 

25vatican2_337-395-articleLarge.jpg


The Rev. Lawrence C. Murphy, with hands together, at St. John’s School for the Deaf in Wisconsin in 1960.

 

 

 

Massimo Introvigne remet tout à plat. Il s'agit d'une manifestion typique des "paniques morales", déjà évoquée dans un précédent article de lui. (25/3/2010)

Le lobby laïciste contre le pape
La grande arnaque du grand New York Times

Massimo Introvigne (cité par Raffaella)
--------------------
S'il y a un journal qui vient à l'esprit quand on parle de lobby laïciste et anti-catholique, c'est bien le New York Times.
Le 25 Mars 2010, le journal de New York a confirmé sa vocation en "jetant" le Pape sur la page de couverture avec un incroyable canular relatif à Benoît XVI et au cardinal secrétaire d'Etat Tarcisio Bertone.

Selon le journal, en 1996, les cardinaux Ratzinger et Bertone aurait enterré l'affaire, signalé à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi par l'archidiocèse de Milwaukee, d'un prêtre pédophile, le père Lawrence Murphy.


De façon incroyable - après des années de précisions, et après que le document ait été publié et largement commenté dans la moitié du monde, exposant les falsifications et des erreurs de traduction du lobby laïciste - le New York Times accuse encore l'instruction Crimen sollicitationis de 1962 (en réalité, la seconde édition d'un texte de 1922) d'avoir oeuvré pour empêcher que le cas de Don Murphy ne soit porté à l'attention des autorités civiles.

 

Les faits sont un peu différents. Vers 1975, le Père Murphy a été accusé d'abus particulièrement graves et méprisables dans un pensionnat pour des mineurs sourds. Le cas a été signalé sans délai aux autorités civiles, qui n'ont pas trouvé de preuves suffisantes pour poursuivre Don Murphy. L'Eglise, en l'occurrence plus sévère que l'Etat, continua pourtant avec persistance à enquêter sur Don Murphy et puisqu'elle soupçonnait qu'il était coupable, à limiter de différentes façons l'exercice de son ministère, bien que les accusations portées contre lui avaient été abandonnées par la magistrature.

Vingt ans après les événements, en 1995 - dans un climat de fortes polémiques autour des affaires de "prêtres pédophiles" - l'archidiocèse de Milwaukee jugea bon de signaler le cas à la Congrégation pour la Doctrine de la Foi. L'information était liée à des violations de la discipline de la confession, du ressort de la Congrégation, et n'avait rien à voir avec l'enquête civile, qui avait eu lieu et s'était conclue il y a plus de vingt ans.
Il convient également de noter que, dans les vingt années antérieures à 1995, il n'y avait pas eu de faits nouveaux ou de nouvelle accusation contre Don Murphy. Les faits débattus étaient encore ceux de 1975. L'archidiocèse signala même à Rome que Don Murphy était mourant. La Congrégation pour la Doctrine de la Foi ne publia certes pas de documents, ni ne fit de déclarations publiques vingt ans après les faits, mais recommanda que l'on continuât à restreindre les activités pastorales de Don Murphy et qu'on lui demande de reconnaître publiquement sa responsabilité. Quatre mois après l'intervention de Rome, Don Murphy mourut.

Ce nouvel exemple de journalisme poubelle confirme comment fonctionnent les «paniques morales». Pour salir la personne du Saint-Père, on remue un épisode d'il y a trente ans, connu et discuté par la presse locale déjà au milieu des années 1970, dont la gestion - pour autant qu'elle relève de ses compétences, et un quart de siècle après les faits - par la Congrégation pour la Doctrine de la Foi a également été canoniquement et moralement irréprochable, et bien plus sévère que celle des autorités de l'Etat américain.


De combien de ces "découvertes" avons-nous encore besoin pour réaliser que l'attaque contre le Pape n'a rien à voir avec la défense des victimes de cas de pédophilie - certes grave, inacceptable et criminel, comme Benoît XVI l'a rappelé avec une sainte sévérité- et vise à discréditer un Pape et une Eglise qui gênet les lobbies pour leur action efficace dans la défense de la vie et la famille?



Source

Benoît et moi

 

 

dimanche, 23 mars 2008

Dimanche de Pâques - Résurrection de Notre Seigneur Jésus-Christ

 

 

 
 
 
 
620717886.JPG
Evangile de Jésus-Christ selon saint Marc 16,1-7. Lorsque le sabbat fut passé, Marie la Magdaléenne, Marie, mère de Jacques, et Salomé achetèrent des aromates afin d'aller l'embaumer. Et, le premier jour de la semaine, de grand matin, elles vinrent au sépulcre, le soleil venant de se lever. Elles se disaient entre elles : " Qui nous roulera la pierre de l'entrée du sépulcre? " Elles regardèrent et observèrent que la pierre avait été roulée de côté; or elle était fort grande. Entrant dans le sépulcre, elles virent un jeune homme assis à droite, vêtu d'une robe blanche, et elles furent saisies de frayeur. Mais il leur dit : " N'ayez pas de frayeur ! Vous cherchez Jésus de Nazareth, le crucifié : il est ressuscité, il n'est pont ici. Voici la place où on l'avait déposé. Mais allez dire à ses disciples et à Pierre qu'il vous précède en Galilée; c'est là que vous le verrez, comme il vous l'a dit. "

 

 

 

 

 

 

 

1802489797.2.png
 
 

 

 

Illustration

 Rembrandt

1635-39

Oil on canvas

Bayerische Staatsgemaldesammlungen

Munich