Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 20 novembre 2012

Ce matin sur la rocade de Grenoble

 

grenoble,mariage homosexuel,famille,dénaturation du mariage,adoption

 

Merci au Salon Beige

dimanche, 05 décembre 2010

 8 décembre : procession aux flambeaux à Grenoble

 

629357aff8122010GRENOBLEjpg2.jpg

 

 

Départ du parvis pour la procession aux flambeaux, organisée par le diocèse de Grenoble,  jusqu’à la Visitation Sainte-Marie d’en Haut (Musée dauphinois)

 

Diocèse de Grenoble : De 12h à 14h Prière du Rosaire, avec les équipes du quartier.

De 16h à 18h Accueil sous le clocher-porche illuminé .

Pour confier une intention de prière, demander une bénédiction de Dieu ou faire bruler un cierge. Sacrement de la réconciliation à l'intérieur.

A 18h30 Messe solennelle présidée par Mgr de Kerimel, avec la participation du Choeur d'enfants de la cathédrale et de l'orchestre Notre-Dame.

A 20h, départ du parvis pour la procession aux flambeaux jusqu'à la Visitation Sainte-Marie d'en Haut (Musée dauphinois).

 

 

 

Source

 

NOVOPRESS LYON

 

Chrétienté Info

 

 

 


dimanche, 15 novembre 2009

Pour la vie à Bordeaux et à Grenoble

 Bordeaux 14/11/2009

Le « chapelet pour la Vie » organisé par l’association catholique, Sos Tout Petits, a été très animé. Le but de cette prière publique est de confier à Dieu les centaines de milliers d’enfants disparus chaque année en France à cause de l’avortement. C’est ainsi qu’environ 150 personnes se sont retrouvées devant la cathédrale Saint-André à Bordeaux, en communion avec d’autres groupes qui organisaient le même événement dans toutes les grandes villes de France. Durant une heure et demie, et menés par plusieurs prêtres, ceux-ci ont donc prié et chanté, sous la protection vigilante des forces de l’ordre.

 

Vers 15 heures, la place Pey-Berland a ensuite connu un déchaînement de haine anti-catholique, sans que cette situation ne semble émouvoir les autorités. En effet, plusieurs dizaines de militants d’extrême gauche, menés par le NPA, des associations féministes et des marginaux regroupés sous la banderole « Burdigala anti-fa »  se sont mis à insulter les familles à genoux. Aux cris de « Caca-Catholique », « Marie, Jésus, on t’en….e » et « Ah si Marie avait connu l’avortement, on n’aurait pas tous ces emmerdements », les manifestants ont en vain tenté de perturber les catholiques qui sont restés d’un très grand calme.

 

Les autorités publiques auraient-elle laissé de telles manifestations de haine se poursuivre s’il s’agissait d’une autre religion ? Poser la question, c’est déjà y répondre.

 

 

 

 

 

 

 

A GRENOBLE


Vidéo : anti-IVG et pro-choix de nouveau face à face à Grenoble


 

 

C'est une habitude : en novembre, l'association SOS Tout Petits Isère, anti-IVG, organisait ce samedi une séance de "prière pour la vie", juste devant l'hôpital Couple Enfant à La Tronche.
C'est une habitude aussi : les défenseurs du droit des femmes à choisir le recours à l'Interruption volontaire de grossesse étaient là pour faire entendre leur voix.

D'un côté une trentaine de personnes venues prier sous une bannière "Loi Veil = génocide" et entourées de barrières installées par les forces de l'ordre. Considérant que "la vie et un don, l'IVG un meurtre", ces jeunes et des moins jeunes étaient venus prier "pour toutes les victimes de l'avortement".Il s'agissait d'un mouvement national.
De l'autre, plus de 150 personnes proches d'organisations politiques (Unef, Jeunes Communistes, Nouveau parti anticapitaliste entre autres) ou simples citoyens étaient venues faire entendre leur voix et défendre le droit de choisir. S'il n'y a pas eu, à proprement parler, d'affrontements lors de ce face-à-face comme l'an passé  (vidéo
ci-dessous) la situation n'en était pas moins tendue.

 

 



 

Malgré nos demandes répétées, il ne nous a pas été possible de recueillir le témoignage de participants à la prière pour la vie. Nous avons essuyé plusieurs refus. Une femme a dans un premier temps accepté de témoigner, avant de s'éclipser précipitamment. Certains participants redoutaient en effet d'être la cible de manifestants pro-choix, alors que la police avait séparé les deux groupes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

22:55 Publié dans Pour la vie | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : avortement, provie, bordeaux, grenoble | |  Imprimer | |  del.icio.us | Digg! Digg |  Facebook | | | | Pin it! |

mercredi, 20 février 2008

La messe traditionnelle

 

 

20285ca7070896934adc356850a9ec58.jpg


 

 
 clic
 
 
 
 
 
 
 

 

 
 Un Pèlerin :
 
Mon Père, qu’est-ce que la Messe ?
 

Le Père : Le catéchisme en donne la signification suivante :

 

“ la sainte messe est le sacrifice du Corps et du Sang de Jésus Christ, offert sur nos autels sous les espèces du pain et du vin, en mémoire du sacrifice de la Croix ”

 

Le Pèlerin :

Mais quelle est l’utilité de ce sacrifice ?

 

Le Père : C’est une bien longue histoire : celle de l’homme, créature libre et intelligente, qui, par le péché se rebelle contre son créateur. Comme Dieu est parfait, le plus petit péché, du plus saint des hommes, lui apparaît comme un mal infini.

 

Le Pèlerin :

C’est pour cela, que, pour réparer un mal infini, il faut un acte, lui même parfait et infini ?

 

Le Père : En effet, voici pourquoi Jésus Christ, fait homme, a voulu nous racheter par un sacrifice parfait, celui de la Croix.

 

Le Pèlerin :

Mais qui obligeait Dieu à effectuer cet acte ?

 

Le Père :  Mais personne ! il s’agit d’un acte parfaitement gratuit, émanant d’une personne infiniment aimante !

 

Le Pèlerin :

Parlez moi maintenant de la liturgie de la messe. Elle ressemble si peu au repas de la Cène.

 

Le Père : Au début, en effet, les tous premiers chrétiens se sont assemblés à la fin d’un repas pour la messe. Puis, des abus eurent lieu, et les chefs de l’Eglise, dont St Paul, dûrent réglementer la messe pour lui garder sa piété et le respect dû à Dieu. Ainsi, dès le IIIème siècle, la liturgie que nous connaissons était définie.

 

Le Pèlerin :

Pourquoi dit-on la messe en latin ?

 

Le Père :  Le latin ? Mais c’est notre langue maternelle, tout simplement. L’Eglise romaine est notre mère, elle veut rassembler tous ses enfants dans l’unité d’une même langue, quelle que soit leur nationalité. Le latin est le signe de notre unité. C’est ainsi depuis de nombreux siècles, et cela a été encore rappelé au Concile Vatican II (Constitution sur la liturgie).

 

Le Pèlerin :

Mais qui comprend le latin aujourd’hui ?

 

Le Père :  Et bien … Dieu tout d’abord ! N’est-ce pas l’essentiel, puisque c’est à lui que l’on, s’adresse ? Le missel offre les traductions de toutes les prières de la messe. Le latin a par ailleurs de nombreux autres avantages : une langue différente de nos langues, consacrée par un usage plus que millénaire, n’est-ce pas un langage sacré, plus apte à célébrer le culte divin qu’une langue banalisée par l’usage courant ?

 

Le Pèlerin :

J’ai remarqué aussi que le prêtre nous tourne le dos à l’autel. Quelle en est la raison ?

 

Le Père : C’est tout simple, et c’est très beau. Dès les origines, les chrétiens se sont tournés vers l’Orient pour prier. Ils ont vu, en effet, dans le soleil levant, le symbole du Christ ressuscité, et de son retour à la fin des temps. On a donc naturellement construit les églises de telle manière que les fidèles et le prêtre à l’autel soient tournés vers l’Orient. De cette manière, nous sommes tous tournés vers Dieu.

 

Le Pèlerin :

Et pourquoi communie-t-on à genoux ?

 

Le Père :  Par la communion, nous recevons Dieu en nous. Un être immense, que l’univers ne saurait contenir, plus grand que tous les rois, créateur des galaxies et de l’infiniment petit ! N’est-ce pas la moindre des choses de lui marquer un peut de respect ? C’est pourquoi, seul le prêtre dont les mains ont été consacrées, a le droit de le toucher de ses mains.

 

Le Pèlerin :

Comment suivre la messe dans un missel ?

 

Le Père :  un missel est composé de trois grandes parties :

 

  • Le Temporal : ce sont les textes propres aux dimanches et jours de fête
  • Le Sanctoral : ce sont les textes propres aux autres jours de l’année, chaque jour étant dédié à un saint.
  • Le Commun : ce sont les textes communs à toutes les messes : le Kiriale (Kirie, Gloria, Sanctus et Agnus Dei) et d’autres textes (Credo, Pater et bien sûr le Canon). Pour suivre la messe dans son missel, il faut donc suivre le commun, puis, sauter aux textes du jour lorsqu’il y a lieu (Epître, Evangile, Offertoire …). C’est un exercice un peu difficile au début, mais on prend vite l’habitude !
 
Le Pèlerin :
 
Je sens qu’il me reste beaucoup de rites à découvrir,
beaucoup de mystères à approfondir,
beaucoup de textes à méditer.
Par quoi commencer ?

 

 

Le Père : Eh bien, vivez au rythme de l’Eglise : allez à la messe chaque dimanche, mais aussi en semaine pour apprécier la liturgie de chaque jour. Ménagez vous des instants de silence et de recueillement pour lire votre missel, votre catéchisme. Oui, vivez au rythme de Dieu et de sa belle liturgie traditionnelle !

 
 
 
 
 

 Ordinaire de la messe 1962.doc

 clic